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Auktionsarchiv: Los-Nr. 114

Ferrari 550 Maranello coupé 2001

The Chantilly Sale
10.09.2017
Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
63.250 €
ca. 76.031 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 114

Ferrari 550 Maranello coupé 2001

The Chantilly Sale
10.09.2017
Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
63.250 €
ca. 76.031 $
Beschreibung:

Châssis n° ZFFZR49B000123091 •Livrée neuve en France •Seulement trois propriétaires •Environ 57 000 kilomètres d'origine •Historique d'entretien « La Maranello n'a besoin d'aucune excuse, elle est logique, un retour aux valeurs traditionnelles, mais des valeurs et un niveau qui sont largement au-dessus de ceux établis par la Daytona quand elle se traînait, en voie d'extinction, il y a un quart de siècle » - Car. En dévoilant la 550 Maranello, Ferrari retournait à sa vieille tradition des sportives à moteur V12 avant, ressuscitant une lignée qui avait été suspendue depuis l'arrêt de la 365 GTB/4 « Daytona » en 1974. Le cœur de toute Ferrari, c'est son moteur et le V12 5, 5 litres à 48 soupapes de la 550 Maranello développait 485 ch à 7 000 tr/min, soit environ 100 de plus que celui de la Daytona. Ferrari avait depuis longtemps découvert que pour obtenir un équilibre optimal sur une sportive à moteur avant, il fallait utiliser une boîte transaxle sur l'essieu arrière et celle de la Maranello offrait six rapports. Les trains roulants étaient montés sur un châssis tubulaire en acier sur lequel était installée la carrosserie en aluminium, tandis que la suspension indépendante offrait deux modes d'amortissement (normal/sport), commandés par un bouton au tableau de bord et complétés par une assistance de direction couplée à la vitesse. Dessinée par Pininfarina, comme son illustre devancière la Daytona, la 550 Maranello arborait les mêmes proportions, adoptant la vieille recette d'un long capot avec un habitacle reculé et un arrière tronqué. L'aérodynamique avait été élaborée en soufflerie où des heures d'essais avaient permis de combiner une trainée minimale avec un appui constant en toutes circonstances, des considérations de première importance sur une voiture qui atteint les 320 km/h. Des détails de style, comme l'entrée d'air de capot ou les ouïes de débourrage derrière les passages de roue avant rappelaient les grandes Ferrari de compétition d'autrefois, en particulier la 250 GTO, tandis qu'à l'arrière, on retrouvait les feux circulaires caractéristiques. Gris argent avec intérieur en cuir noir, cette 550 Maranello a été livrée neuve le 21 mai 2001 par Charles Pozzi, l'importateur Ferrari en France, et vendue directement à SCS Desaedeleer à Monaco. Elle a été immatriculée le 21 août 2002. Le second propriétaire était M. Mugneret de Dijon, en France. Le 31 janvier 2012, la voiture a fait sa révision des 50 000 km chez Ferrari Gauduel, à Lyon, avec changement des courroies d'arbres à cames (voir la facture de 7 426 € au dossier). L'actuel propriétaire a acheté la Ferrari en 2014, date depuis laquelle elle a été peu utilisée et a bénéficié des soins d'un spécialiste à Dijon (voir la facture en date du 08/06/2016 à 56 000 km). La documentation additionnelle comprend le carnet d'entretien et la carte grise française. 2001 Ferrari 550 Maranello Coupé Chassis no. ZFFZR49B000123091 •Delivered new in France •Three owners from new •Only circa 57,000 kilometres from new •Service history 'The Maranello needs no excuses: it is right-minded, a return to traditional values, albeit values and standards that tower high above those set by the Daytona when it shuffled off to extinction a quarter of a century ago.' – Car magazine. With the introduction of the 550 Maranello in 1997, Ferrari returned to its tradition of building front-engined V12 sports cars, resurrecting a line that had remained dormant since the demise of the 365GTB/4 'Daytona' in 1974. The heart of any Ferrari is its engine, and the 550 Maranello's 48-valve, 5.5-litre V12 developed 485bhp at 7,000rpm, some 100-or-so horsepower more than the Daytona's. Ferrari had discovered long ago that providing optimum balance in a front-engined sports car necessitated the use of a rear transaxle, and the Maranello's came with six speeds. The power train was housed in a tubular steel chassis, to which was attached aluminium coachwork, while the all-independent suspension incorporated dual-mode

Auktionsarchiv: Los-Nr. 114
Auktion:
Datum:
10.09.2017
Auktionshaus:
Bonhams London
Chantilly, Château de Chantilly Pelouse du Jeu de Paume 60500 Chantilly Tel: +33 1 42 61 10 11 Fax : +32 476 879 471 eurocars@bonhams.com
Beschreibung:

Châssis n° ZFFZR49B000123091 •Livrée neuve en France •Seulement trois propriétaires •Environ 57 000 kilomètres d'origine •Historique d'entretien « La Maranello n'a besoin d'aucune excuse, elle est logique, un retour aux valeurs traditionnelles, mais des valeurs et un niveau qui sont largement au-dessus de ceux établis par la Daytona quand elle se traînait, en voie d'extinction, il y a un quart de siècle » - Car. En dévoilant la 550 Maranello, Ferrari retournait à sa vieille tradition des sportives à moteur V12 avant, ressuscitant une lignée qui avait été suspendue depuis l'arrêt de la 365 GTB/4 « Daytona » en 1974. Le cœur de toute Ferrari, c'est son moteur et le V12 5, 5 litres à 48 soupapes de la 550 Maranello développait 485 ch à 7 000 tr/min, soit environ 100 de plus que celui de la Daytona. Ferrari avait depuis longtemps découvert que pour obtenir un équilibre optimal sur une sportive à moteur avant, il fallait utiliser une boîte transaxle sur l'essieu arrière et celle de la Maranello offrait six rapports. Les trains roulants étaient montés sur un châssis tubulaire en acier sur lequel était installée la carrosserie en aluminium, tandis que la suspension indépendante offrait deux modes d'amortissement (normal/sport), commandés par un bouton au tableau de bord et complétés par une assistance de direction couplée à la vitesse. Dessinée par Pininfarina, comme son illustre devancière la Daytona, la 550 Maranello arborait les mêmes proportions, adoptant la vieille recette d'un long capot avec un habitacle reculé et un arrière tronqué. L'aérodynamique avait été élaborée en soufflerie où des heures d'essais avaient permis de combiner une trainée minimale avec un appui constant en toutes circonstances, des considérations de première importance sur une voiture qui atteint les 320 km/h. Des détails de style, comme l'entrée d'air de capot ou les ouïes de débourrage derrière les passages de roue avant rappelaient les grandes Ferrari de compétition d'autrefois, en particulier la 250 GTO, tandis qu'à l'arrière, on retrouvait les feux circulaires caractéristiques. Gris argent avec intérieur en cuir noir, cette 550 Maranello a été livrée neuve le 21 mai 2001 par Charles Pozzi, l'importateur Ferrari en France, et vendue directement à SCS Desaedeleer à Monaco. Elle a été immatriculée le 21 août 2002. Le second propriétaire était M. Mugneret de Dijon, en France. Le 31 janvier 2012, la voiture a fait sa révision des 50 000 km chez Ferrari Gauduel, à Lyon, avec changement des courroies d'arbres à cames (voir la facture de 7 426 € au dossier). L'actuel propriétaire a acheté la Ferrari en 2014, date depuis laquelle elle a été peu utilisée et a bénéficié des soins d'un spécialiste à Dijon (voir la facture en date du 08/06/2016 à 56 000 km). La documentation additionnelle comprend le carnet d'entretien et la carte grise française. 2001 Ferrari 550 Maranello Coupé Chassis no. ZFFZR49B000123091 •Delivered new in France •Three owners from new •Only circa 57,000 kilometres from new •Service history 'The Maranello needs no excuses: it is right-minded, a return to traditional values, albeit values and standards that tower high above those set by the Daytona when it shuffled off to extinction a quarter of a century ago.' – Car magazine. With the introduction of the 550 Maranello in 1997, Ferrari returned to its tradition of building front-engined V12 sports cars, resurrecting a line that had remained dormant since the demise of the 365GTB/4 'Daytona' in 1974. The heart of any Ferrari is its engine, and the 550 Maranello's 48-valve, 5.5-litre V12 developed 485bhp at 7,000rpm, some 100-or-so horsepower more than the Daytona's. Ferrari had discovered long ago that providing optimum balance in a front-engined sports car necessitated the use of a rear transaxle, and the Maranello's came with six speeds. The power train was housed in a tubular steel chassis, to which was attached aluminium coachwork, while the all-independent suspension incorporated dual-mode

Auktionsarchiv: Los-Nr. 114
Auktion:
Datum:
10.09.2017
Auktionshaus:
Bonhams London
Chantilly, Château de Chantilly Pelouse du Jeu de Paume 60500 Chantilly Tel: +33 1 42 61 10 11 Fax : +32 476 879 471 eurocars@bonhams.com
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