FAMILLE ROYALE DE FRANCE. Ensemble comprenant: une L.A.S. du prince Gaston d'Orléans, comte d'Eu (1842-1922), datée du 31 janvier 1902, sur papier à en-tête aux armes d'Orléans, 4 pages, in-4; une L.A.S. de la princesse Isabelle d'Orléans, comtesse d'Eu (1846-1921), sans date, sur papier à en-tête aux armes d'alliance Orléans-Brésil, 1 page, in-4; une carte de sociétaire de la protection des animaux de Biarritz et du Pays basque pour l'année 1943, établie au nom du duc de Nemours (1905-1970), avec sa signature autographe: «Nemours» et une carte de visite au nom du duc d'Orléans (1869-1926), bordée de noir et portant l'inscription manuscrite «Conciergerie le 13 février 1890». Intéressant document souvenir de l'emprisonnement du prince au lendemain de son arrivée en France pour effectuer son service militaire. Il fût jugé le 12 février et condamné à une peine de deux ans d'incarcération pour être revenu dans son pays malgré la loi d'exil. Au bout de quatre mois de captivité, il fut gracié par le président de la République Sadi Carnot et reconduit à la frontière, le 4 juin 1890. En l'état. Formats divers.
FAMILLE ROYALE DE FRANCE. Ensemble comprenant: une L.A.S. du prince Gaston d'Orléans, comte d'Eu (1842-1922), datée du 31 janvier 1902, sur papier à en-tête aux armes d'Orléans, 4 pages, in-4; une L.A.S. de la princesse Isabelle d'Orléans, comtesse d'Eu (1846-1921), sans date, sur papier à en-tête aux armes d'alliance Orléans-Brésil, 1 page, in-4; une carte de sociétaire de la protection des animaux de Biarritz et du Pays basque pour l'année 1943, établie au nom du duc de Nemours (1905-1970), avec sa signature autographe: «Nemours» et une carte de visite au nom du duc d'Orléans (1869-1926), bordée de noir et portant l'inscription manuscrite «Conciergerie le 13 février 1890». Intéressant document souvenir de l'emprisonnement du prince au lendemain de son arrivée en France pour effectuer son service militaire. Il fût jugé le 12 février et condamné à une peine de deux ans d'incarcération pour être revenu dans son pays malgré la loi d'exil. Au bout de quatre mois de captivité, il fut gracié par le président de la République Sadi Carnot et reconduit à la frontière, le 4 juin 1890. En l'état. Formats divers.
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