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Auktionsarchiv: Los-Nr. 351

En possession du propriétaire actuel depuis plus de 50 ans

Automobiles de Collection
16.02.2007 - 17.02.2007
Schätzpreis
120.000 € - 180.000 €
ca. 156.890 $ - 235.335 $
Zuschlagspreis:
709.750 €
ca. 927.941 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 351

En possession du propriétaire actuel depuis plus de 50 ans

Automobiles de Collection
16.02.2007 - 17.02.2007
Schätzpreis
120.000 € - 180.000 €
ca. 156.890 $ - 235.335 $
Zuschlagspreis:
709.750 €
ca. 927.941 $
Beschreibung:

En possession du propriétaire actuel depuis plus de 50 ans
En possession du propriétaire actuel depuis plus de 50 ans DE DION BOUTON & TREPARDOUX Quadricycle à Vapeur Année : aux alentours de 1890 No. de chaudière : 3.165 Vert foncé avec filets rouge, coussins de fauteuil en cuir noir Données techniques : Deux cylindres horizontaux couplés et montés sous le plancher, en tandem agissant sur le moteur à vapeur par deux cylindres, l'un à haute pression alésés à 75mm, et l'autre de dilatation alésés à 115 mm avec une course commune de 90mm. Les soupapes d'admission et d'échappement sont latérales commandées par des excentriques, la vanne de réglage de l'admission située au centre du véhicule. Transmission à chacune des roues arrière par des chaînes en porte-à-faux. Chaudière au charbon en fer forgé avec tubes de chauffage d'eau verticaux surmontée par une boîte à charbon, avec réservoir d'eau à l'arrière du véhicule logé entre les fauteuils dos à dos. Châssis en acier profilé avec suspensions à lames semi-elliptiques avant et arrière, empattement 1,12m, voie avant 1,24m, voie arrière 0,44m. Diamètres des roues avant 80cm, arrière 60cm. Roues à rayons avec moyeux en bronze et bandages pleins. Frein à commande manuelle centrale sur les pneus arrière, commande au pied aussi sur les pneus arrière. Direction sur les roues avant commandée par un guidon à serrage sur le côté droit du véhicule. Histoire du modèle En 1937, le marquis Albert de Dion publia un livre intitulé Images du Passé , dans lequel il retraçait son formidable engagement dans l'automobile et la fabrication de moteurs de 1883 à 1926. Dans l'introduction, il est raconté comment De Dion et ses deux beaux-frères Georges Bouton et Charles Trépardoux s'associèrent pour fabriquer des véhicules innovants motorisés à la vapeur pendant une période de plus de 20 ans, puis le développement des fameuses De Dion Bouton à moteur à explosion à partir de 1895. Le début de cette histoire peut être résumé en ces quelques mots : En 1882, M. Bouton et son beau-frère Trépardoux, exploitaient à Paris, rue de la Chapelle, un modeste atelier de mécanique où ils construisaient des modèles pour Ducretet, et des jouets scientifiques pour la maison Giroux. Le Comte de Dion s'occupant d'organiser un bal, avec le Duc de Morny, et venu chez Giroux pour acheter des accessoires de cotillon, remarqua une petite machine à vapeur si admirablement exécutée, qu'il s'informa des constructeurs et se fit conduire chez eux immédiatement. C'est ainsi que se fit la rencontre du gentilhomme et de l'artisan, du jeune clubman, qui depuis son enfance rêvait de randonnées sur des voitures mécaniques, et de l'habile petit mécanicien de la rue de la Chapelle. Cette succession de hasards permit rapidement à Trépardoux et Bouton aux services du Comte de travailler dans un atelier à Puteaux, dans la banlieue Nord Ouest de Paris. Le résultat de leurs travaux mena rapidement au lancement d'un petit générateur léger à vapeur et à la construction d'une remorque pour démontrer le côté pratique de cette nouvelle chaudière. Les différents talents des membres de ce triumvirat ne pouvaient pas être plus complémentaires. Le comte semblait avoir pris l'initiative de ces développements, tandis que Trépardoux, un ingénieur diplômé apportait les connaissances théoriques et scientifiques et que Bouton, un ingénieur très intuitif était capable de traduire tout ça dans la pratique. Au départ, les activités furent traitées par la société Trépardoux et Cie, même si les opinions divergent quelque peu à ce sujet. Comme la plupart des inventions géniales, le schéma de la chaudière était à la fois simple du point de vue de la conception et de la construction, se résumant à un ensemble de cylindres verticaux en acier forgé dont la taille diminuait, installés les uns dans les autres comme des poupées russes. L'arrivée extérieure apportait l'eau, le tube central servait de trémie pour l'apport de charbon sur la grille de combustion à la base de la chaudière afin que la chaleur rayonne à partir

Auktionsarchiv: Los-Nr. 351
Auktion:
Datum:
16.02.2007 - 17.02.2007
Auktionshaus:
Christie's
16-17 February 2007, Paris
Beschreibung:

En possession du propriétaire actuel depuis plus de 50 ans
En possession du propriétaire actuel depuis plus de 50 ans DE DION BOUTON & TREPARDOUX Quadricycle à Vapeur Année : aux alentours de 1890 No. de chaudière : 3.165 Vert foncé avec filets rouge, coussins de fauteuil en cuir noir Données techniques : Deux cylindres horizontaux couplés et montés sous le plancher, en tandem agissant sur le moteur à vapeur par deux cylindres, l'un à haute pression alésés à 75mm, et l'autre de dilatation alésés à 115 mm avec une course commune de 90mm. Les soupapes d'admission et d'échappement sont latérales commandées par des excentriques, la vanne de réglage de l'admission située au centre du véhicule. Transmission à chacune des roues arrière par des chaînes en porte-à-faux. Chaudière au charbon en fer forgé avec tubes de chauffage d'eau verticaux surmontée par une boîte à charbon, avec réservoir d'eau à l'arrière du véhicule logé entre les fauteuils dos à dos. Châssis en acier profilé avec suspensions à lames semi-elliptiques avant et arrière, empattement 1,12m, voie avant 1,24m, voie arrière 0,44m. Diamètres des roues avant 80cm, arrière 60cm. Roues à rayons avec moyeux en bronze et bandages pleins. Frein à commande manuelle centrale sur les pneus arrière, commande au pied aussi sur les pneus arrière. Direction sur les roues avant commandée par un guidon à serrage sur le côté droit du véhicule. Histoire du modèle En 1937, le marquis Albert de Dion publia un livre intitulé Images du Passé , dans lequel il retraçait son formidable engagement dans l'automobile et la fabrication de moteurs de 1883 à 1926. Dans l'introduction, il est raconté comment De Dion et ses deux beaux-frères Georges Bouton et Charles Trépardoux s'associèrent pour fabriquer des véhicules innovants motorisés à la vapeur pendant une période de plus de 20 ans, puis le développement des fameuses De Dion Bouton à moteur à explosion à partir de 1895. Le début de cette histoire peut être résumé en ces quelques mots : En 1882, M. Bouton et son beau-frère Trépardoux, exploitaient à Paris, rue de la Chapelle, un modeste atelier de mécanique où ils construisaient des modèles pour Ducretet, et des jouets scientifiques pour la maison Giroux. Le Comte de Dion s'occupant d'organiser un bal, avec le Duc de Morny, et venu chez Giroux pour acheter des accessoires de cotillon, remarqua une petite machine à vapeur si admirablement exécutée, qu'il s'informa des constructeurs et se fit conduire chez eux immédiatement. C'est ainsi que se fit la rencontre du gentilhomme et de l'artisan, du jeune clubman, qui depuis son enfance rêvait de randonnées sur des voitures mécaniques, et de l'habile petit mécanicien de la rue de la Chapelle. Cette succession de hasards permit rapidement à Trépardoux et Bouton aux services du Comte de travailler dans un atelier à Puteaux, dans la banlieue Nord Ouest de Paris. Le résultat de leurs travaux mena rapidement au lancement d'un petit générateur léger à vapeur et à la construction d'une remorque pour démontrer le côté pratique de cette nouvelle chaudière. Les différents talents des membres de ce triumvirat ne pouvaient pas être plus complémentaires. Le comte semblait avoir pris l'initiative de ces développements, tandis que Trépardoux, un ingénieur diplômé apportait les connaissances théoriques et scientifiques et que Bouton, un ingénieur très intuitif était capable de traduire tout ça dans la pratique. Au départ, les activités furent traitées par la société Trépardoux et Cie, même si les opinions divergent quelque peu à ce sujet. Comme la plupart des inventions géniales, le schéma de la chaudière était à la fois simple du point de vue de la conception et de la construction, se résumant à un ensemble de cylindres verticaux en acier forgé dont la taille diminuait, installés les uns dans les autres comme des poupées russes. L'arrivée extérieure apportait l'eau, le tube central servait de trémie pour l'apport de charbon sur la grille de combustion à la base de la chaudière afin que la chaleur rayonne à partir

Auktionsarchiv: Los-Nr. 351
Auktion:
Datum:
16.02.2007 - 17.02.2007
Auktionshaus:
Christie's
16-17 February 2007, Paris
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