Édition originale de la traduction de Charles Nodier. Frontispice avec le portrait de l’auteur gravé sur bois, tiré sur chine collé, 10 planches de Tony Johannot gravées sur acier, protégées par une feuille de papier de soie portant la légende imprimée, et environ 100 vignettes sur bois dans le texte par Best, Leloir, Lacoste, etc. Premier tirage. UN DES TRES RARES EXEMPLAIRES AVEC LES FIGURES HORS TEXTE TIRÉES SUR CHINE. DÉLICATE RELIURE DE CHARLES BLAISE, ALLIANT CHARME ET ÉLÉGANCE DANS LE TRACÉ DE SON DÉCOR ET L’EMPLOI DE PETITS FERS SPÉCIAUX FIGURANT DES VÉGÉTAUX ET DES INSECTES. Charles Blaise, relieur établi à Paris en 1835, participa à l’exposition des produits de l’industrie française en 1844 où il obtint une mention favorable. Il exécuta, au moyen de filets bordant les plats et ornant les dos, des décors où préside la simplicité, et signa aussi des reliures accompagnées de pièces de cuivre doré (cf. Paul Culot, Relieurs et reliures décorées en France à l’époque romantique, p.469). L’exemplaire est cité par Carteret. Il porte la signature autographe d’Eugène Paillet (1887, n°304) et a figuré au catalogue de la bibliothèque Armand Ripault (II, 1924, n°536).
Édition originale de la traduction de Charles Nodier. Frontispice avec le portrait de l’auteur gravé sur bois, tiré sur chine collé, 10 planches de Tony Johannot gravées sur acier, protégées par une feuille de papier de soie portant la légende imprimée, et environ 100 vignettes sur bois dans le texte par Best, Leloir, Lacoste, etc. Premier tirage. UN DES TRES RARES EXEMPLAIRES AVEC LES FIGURES HORS TEXTE TIRÉES SUR CHINE. DÉLICATE RELIURE DE CHARLES BLAISE, ALLIANT CHARME ET ÉLÉGANCE DANS LE TRACÉ DE SON DÉCOR ET L’EMPLOI DE PETITS FERS SPÉCIAUX FIGURANT DES VÉGÉTAUX ET DES INSECTES. Charles Blaise, relieur établi à Paris en 1835, participa à l’exposition des produits de l’industrie française en 1844 où il obtint une mention favorable. Il exécuta, au moyen de filets bordant les plats et ornant les dos, des décors où préside la simplicité, et signa aussi des reliures accompagnées de pièces de cuivre doré (cf. Paul Culot, Relieurs et reliures décorées en France à l’époque romantique, p.469). L’exemplaire est cité par Carteret. Il porte la signature autographe d’Eugène Paillet (1887, n°304) et a figuré au catalogue de la bibliothèque Armand Ripault (II, 1924, n°536).
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