Ecole FRANCAISE vers 1650, entourage de Philippe de CHAMPAIGNE Portrait d’un ecclésiastique Toile 61 x 51,5 cm Philippe de Champaigne, représentant brillant de l’école française de peinture baroque, est né à Bruxelles dans une famille pauvre le 26 mai 1602. A l’âge de dix-neuf ans, le jeune homme se rend à Paris et décore le Palais du Luxembourg sous la direction d’Antoine Nicolas Duchenne, peintre de la cour. Plus tard, l’artiste devient peintre de la reine Marie de Médicis et reçoit de nombreuses prestigieuses commandes, dont celles bien connues de portraits du cardinal Richelieu, portraits qui l’ont rendu célèbre et dont le modèle nous reste en mémoire, notre portrait en est d’ailleurs héritier. Le 12 août 1674, l’artiste s’éteint à Paris, laissant derrière lui un héritage artistique immense qui influencera beaucoup d’artistes. Notre oeuvre, selon le cachet de cire au dos de la toile proviendrait de la collection O’Murphy, la célèbre petite maîtresse de Louis XV. On y admire le travail et le soin dans le rendu des textiles, avec ses noirs et ses blancs mais aussi dans les chairs travaillées avec soin, l’ensemble se détachant d’un fond sobre et uni, nous permettant de nous concentrer sur la personnalité du modèle.
Ecole FRANCAISE vers 1650, entourage de Philippe de CHAMPAIGNE Portrait d’un ecclésiastique Toile 61 x 51,5 cm Philippe de Champaigne, représentant brillant de l’école française de peinture baroque, est né à Bruxelles dans une famille pauvre le 26 mai 1602. A l’âge de dix-neuf ans, le jeune homme se rend à Paris et décore le Palais du Luxembourg sous la direction d’Antoine Nicolas Duchenne, peintre de la cour. Plus tard, l’artiste devient peintre de la reine Marie de Médicis et reçoit de nombreuses prestigieuses commandes, dont celles bien connues de portraits du cardinal Richelieu, portraits qui l’ont rendu célèbre et dont le modèle nous reste en mémoire, notre portrait en est d’ailleurs héritier. Le 12 août 1674, l’artiste s’éteint à Paris, laissant derrière lui un héritage artistique immense qui influencera beaucoup d’artistes. Notre oeuvre, selon le cachet de cire au dos de la toile proviendrait de la collection O’Murphy, la célèbre petite maîtresse de Louis XV. On y admire le travail et le soin dans le rendu des textiles, avec ses noirs et ses blancs mais aussi dans les chairs travaillées avec soin, l’ensemble se détachant d’un fond sobre et uni, nous permettant de nous concentrer sur la personnalité du modèle.
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