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Auktionsarchiv: Los-Nr. 129

CRITIQUES, HISTORIENS D'ART et divers. – Ense...

Schätzpreis
n. a.
Zuschlagspreis:
200 €
ca. 233 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 129

CRITIQUES, HISTORIENS D'ART et divers. – Ense...

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n. a.
Zuschlagspreis:
200 €
ca. 233 $
Beschreibung:

CRITIQUES, HISTORIENS D'ART et divers. – Ensemble de 13 lettres et cartes adressées à Élie Faure. – Cassirer (Bruno). Lettre signée, en allemand, par le secrétaire de sa maison d'édition Emil Denzler. Berlin, 10 mars 1923. Fente à une pliure. Le marchand et éditeur d'art répond ici à la demande d'Élie Faure d'utiliser certaines des reproductions parues dans l'ouvrage de William Cohn, Die Kunst des Ostens. – Chassériau (Arthur). Lettre autographe signée. Hautefort (Dordogne), 30 septembre 1919. Le collectionneur évoque ses origines familiales. – Dolent (Jean). Lettre autographe signée. Paris, 11 décembre 1903. « J'ai lu votre Velazquez. Il est d'usage de dire : quand je pense comme vous cela me rassure sur moi ; mais souffrez que je dise aussi : quand vous pensez comme moi, cela me rassure sur vous. Quel orgueil, non quelle franchise ! Vous dites très bien : "Un grand peintre ne peut mentir". Je dis : "Un artiste ne peut mentir". Votre ironie vise à l'idéalisme d'école, et je m'en réjouis. Je retiendrai : "Il comprend si parfaitement qu'il a la suprême beauté de ne jamais crier qu'il a compris." Et enfin : "Il a la suprême vertu, la simplicité héroïque". Vous dites aussi : "S'il est vrai que l'intelligence soit la faculté d'établir des rapports entre les phénomènes extérieurs qui s'offrent à notre jugement". Et cela est vrai. Cette certitude me donne une nouvelle raison de vous estimer... » – Gangoly (Ordhendra Coomar). Lettre signée, en anglais. Calcutta, 30 janvier 1923. L'historien de l'art indien demande à Élie Faure une introduction à un ouvrage qu'il souhaite publier sous le titre Masterpieces of Indian Sculpture, présente sa bibliographie et son travail de directeur du périodique Rupam consacré à l'histoire de l'art oriental. – Lecomte (Georges). Lettre autographe signée. Paris, « mardi », [novembre 1904]. L'écrivain et critique d'art accepte de se rendre au banquet organisé par Élie Faure en l'honneur de leur ami le peintre Eugène Carrière qui se tiendrait le 20 décembre 1904 sous la présidence de Rodin. – Milliet (Paul). Lettre autographe signée. S.l., 20 août 1902. Le peintre et historien de l'art proteste de manière virulemment sarcastique contre une critique dans laquelle Élie Faure écrivait « Il faut laisser mourir les ruines ». – Roger-Marx (Claude). Lettre autographe signée. Paris, 16 septembre 1923. Le critique et historien d'art fait part à Élie Faure de l'admiration qu'il a ressentie à la lecture de ses études sur Cézanne et sur Derain parues en cette année 1923. – Salmon (André). Lettre autographe signée. [Paris], 7 décembre 1921. L'écrivain et critique d'art accepte de participer à la tombola organisée par Élie Faure en faveur du peintre espagnol Francisco Iturrino – Séailles (Gabriel). Carte autographe signée. S.l., [1907]. « Si j'ai tardé à vous remercier de l'envoi de votre dernier volume [Formes et forces, recueil d'articles paru en cette année 1907] et de la dédicace que vous avez bien voulu me faire des deux belles études sur Zola et sur Carrière, c'est que je tenais à vous lire d'abord. Je l'ai fait avec le plus grand plaisir. Il y a dans ce livre des pages qui sont certes des meilleures que vous ayez écrites. j'en trouve de telles, par exemple, dans votre article sur Bourdelle. Toutes les fois que vous rencontrez la nature, la rencontre est heureuse. Vous verrez dans le catalogue de l'exposition, la préface que j'ai écrite sur l'œuvre de notre ami. Je souhaite qu'elle ait votre suffrage [allusion à la préface du catalogue de l'exposition rétrospective Eugène Carrière organisée à l'École nationale des Beaux-Arts en mai-juin 1907]... » Philosophe s'étant notamment intéressé aux questions d'esthétique, Gabriel Séailles était de convictions socialistes et mena une action engagée : à l'origine de la création des Universités populaires (où enseigna Élie Faure), il milita en faveur de Dreyfus, contre les répressions russe en 1905 et espagnole en 1909. – Traz (Georges de). Lettre et carte autograph

Auktionsarchiv: Los-Nr. 129
Auktion:
Datum:
30.10.2017
Auktionshaus:
Alde
1 rue de Fleurus
75006 Paris
Frankreich
contact@alde.fr
+ 33 (0)1 45 49 09 24
+ 33 (0)1 45490930
Beschreibung:

CRITIQUES, HISTORIENS D'ART et divers. – Ensemble de 13 lettres et cartes adressées à Élie Faure. – Cassirer (Bruno). Lettre signée, en allemand, par le secrétaire de sa maison d'édition Emil Denzler. Berlin, 10 mars 1923. Fente à une pliure. Le marchand et éditeur d'art répond ici à la demande d'Élie Faure d'utiliser certaines des reproductions parues dans l'ouvrage de William Cohn, Die Kunst des Ostens. – Chassériau (Arthur). Lettre autographe signée. Hautefort (Dordogne), 30 septembre 1919. Le collectionneur évoque ses origines familiales. – Dolent (Jean). Lettre autographe signée. Paris, 11 décembre 1903. « J'ai lu votre Velazquez. Il est d'usage de dire : quand je pense comme vous cela me rassure sur moi ; mais souffrez que je dise aussi : quand vous pensez comme moi, cela me rassure sur vous. Quel orgueil, non quelle franchise ! Vous dites très bien : "Un grand peintre ne peut mentir". Je dis : "Un artiste ne peut mentir". Votre ironie vise à l'idéalisme d'école, et je m'en réjouis. Je retiendrai : "Il comprend si parfaitement qu'il a la suprême beauté de ne jamais crier qu'il a compris." Et enfin : "Il a la suprême vertu, la simplicité héroïque". Vous dites aussi : "S'il est vrai que l'intelligence soit la faculté d'établir des rapports entre les phénomènes extérieurs qui s'offrent à notre jugement". Et cela est vrai. Cette certitude me donne une nouvelle raison de vous estimer... » – Gangoly (Ordhendra Coomar). Lettre signée, en anglais. Calcutta, 30 janvier 1923. L'historien de l'art indien demande à Élie Faure une introduction à un ouvrage qu'il souhaite publier sous le titre Masterpieces of Indian Sculpture, présente sa bibliographie et son travail de directeur du périodique Rupam consacré à l'histoire de l'art oriental. – Lecomte (Georges). Lettre autographe signée. Paris, « mardi », [novembre 1904]. L'écrivain et critique d'art accepte de se rendre au banquet organisé par Élie Faure en l'honneur de leur ami le peintre Eugène Carrière qui se tiendrait le 20 décembre 1904 sous la présidence de Rodin. – Milliet (Paul). Lettre autographe signée. S.l., 20 août 1902. Le peintre et historien de l'art proteste de manière virulemment sarcastique contre une critique dans laquelle Élie Faure écrivait « Il faut laisser mourir les ruines ». – Roger-Marx (Claude). Lettre autographe signée. Paris, 16 septembre 1923. Le critique et historien d'art fait part à Élie Faure de l'admiration qu'il a ressentie à la lecture de ses études sur Cézanne et sur Derain parues en cette année 1923. – Salmon (André). Lettre autographe signée. [Paris], 7 décembre 1921. L'écrivain et critique d'art accepte de participer à la tombola organisée par Élie Faure en faveur du peintre espagnol Francisco Iturrino – Séailles (Gabriel). Carte autographe signée. S.l., [1907]. « Si j'ai tardé à vous remercier de l'envoi de votre dernier volume [Formes et forces, recueil d'articles paru en cette année 1907] et de la dédicace que vous avez bien voulu me faire des deux belles études sur Zola et sur Carrière, c'est que je tenais à vous lire d'abord. Je l'ai fait avec le plus grand plaisir. Il y a dans ce livre des pages qui sont certes des meilleures que vous ayez écrites. j'en trouve de telles, par exemple, dans votre article sur Bourdelle. Toutes les fois que vous rencontrez la nature, la rencontre est heureuse. Vous verrez dans le catalogue de l'exposition, la préface que j'ai écrite sur l'œuvre de notre ami. Je souhaite qu'elle ait votre suffrage [allusion à la préface du catalogue de l'exposition rétrospective Eugène Carrière organisée à l'École nationale des Beaux-Arts en mai-juin 1907]... » Philosophe s'étant notamment intéressé aux questions d'esthétique, Gabriel Séailles était de convictions socialistes et mena une action engagée : à l'origine de la création des Universités populaires (où enseigna Élie Faure), il milita en faveur de Dreyfus, contre les répressions russe en 1905 et espagnole en 1909. – Traz (Georges de). Lettre et carte autograph

Auktionsarchiv: Los-Nr. 129
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Datum:
30.10.2017
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