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Auktionsarchiv: Los-Nr. 15

Lamborghini

Schätzpreis
110.000 € - 130.000 €
ca. 144.313 $ - 170.551 $
Zuschlagspreis:
115.000 €
ca. 150.872 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 15

Lamborghini

Schätzpreis
110.000 € - 130.000 €
ca. 144.313 $ - 170.551 $
Zuschlagspreis:
115.000 €
ca. 150.872 $
Beschreibung:

Countach LP400 S - 1980 Numéro de châssis: #1121154 «Countach!». La légende raconte que c'est par cette expression, typique du patois piémontais et que l'on pourrait traduire maladroitement par «fabuleux», que Nuccio Bertone baptisa ce qui allait devenir l'une des plus incroyables automobiles de la fin du XXème siècle. «Countach!». C'est bien le mot que prononça le responsable du design de la nouvelle Lamborghini lorsqu'il découvrit les lignes du prototype dessiné par son jeune styliste Marcello Gandini Destiné à remplacer la déjà légendaire Miura, le projet 112, lancé à la fin des années 1960, fut donc matérialisé en 1971 par un prototype aux lignes futuristes, démesurément bas, taillé d'un seul trait allant d'une proue très plongeante et démunie de tout ornement à un arrière relevé et orné de feux en trapèze. On retrouvait dans ce dessin les lignes du prototype Carabo de 1968, basé sur une Alfa Romeo 33, déjà dues au talentueux Gandini. Les portes à ouverture en élytre s'ouvrait sur un cockpit au plus près du sol et très avancé afin de dégager de l'espace pour la mécanique, un V12 de 5 litres placé, contrairement à la Miura, en position longitudinale, en avant de l'essieu arrière. Présentée dans cette configuration au Salon de Genève en mars 1971, aux côtés de la Miura SV et sous la dénomination LP500 (pour «Longitudinale Posteriore», et 500 en référence aux 5 litres de cylindrée), la voiture vit sa cylindrée ramenée à 4 litres lors de la présentation d'un modèle quasi-définitif, rebaptisé LP400, deux ans plus tard, toujours à Genève. Le châssis en tôle d'acier caissonnée de la LP500, proche de celui de la Miura, avait quant à lui laissé sa place à un treillis tubulaire, jugé moins couteux à produire et plus rigide. Oeuvre de Paolo Stanzani, qui avait remplacé Gianpaolo Dallara à la tête de la direction technique, ce châssis confèrait à la voiture une excellente maniabilité et une plus grande facilité de conduite comparativement à la Miura. Commercialisée en 1974, la voiture restait proche des lignes du modèle du Salon 1973, mais se vit équipée de deux prises d'air proéminentes destinées à alimenter en air frais les radiateurs placés en position transversale. De l'air frais, il en fallait pour refroidir les ardeurs du V12 à quatre arbres à cames en tête et 6 carburateurs double corps développant la bagatelle de 375cv, et n'ayant qu'un peu plus d'une tonne à mouvoir... Avec un rapport poids/puissance d'environ 2,85kg/cv, la voiture surclassait quasiment tout ce qui roulait alors, y compris la rivale Ferrari 365 BB... En 1978, Lamborghini, toujours fidèle au Salon de Genève, présenta une évolution de sa supercar, inspirée par la Countach unique commandée en 1974 par l'entrepreneur canadien et propriétaire de l'écurie de F1 éponyme Walter Wolf. Baptisée LP400 S, la voiture se voyait dotée de tout nouveaux pneumatiques Pirelli P7 à profil bas montés sur des roues, toujours de la marque Campagnolo, mais désormais de types «téléphone» à 5 trous, du même type que celles qui équipaient le prototype Lamborghini Bravo de 1974. L'arrivée de ces pneumatiques obligea Stanzani et Dallara, entre-temps devenu consultant pour la marque, à revoir entièrement la géométrie des suspensions de la voiture, afin d'exploiter au mieux le formidable grip apporté par les monstrueux P7 de 345mm de larges à l'arrière... Pour loger ces nouvelles roues, la voiture était maintenant équipée d'extensions d'ailes qui dénaturaient sensiblement la pureté du dessin originel de Gandini. On notait également l'ajout d'un spoiler aérodynamique à l'avant. En option, le client pouvait doter la voiture d'un gigantesque aileron arrière en V qui, s'il augmentait la stabilité de la voiture à haute vitesse et renforçait son impact visuel, réduisait de 20km/heure la vitesse de pointe. La voiture était donc plus stable, mais aussi légèrement plus lourde. Mécaniquement, la voiture restait inchangée est développait toujours la puissance respectable de 375cv. Seules les dernièr

Auktionsarchiv: Los-Nr. 15
Auktion:
Datum:
16.12.2012
Auktionshaus:
LECLERE - Auction Houses
rue Vincent Courdouan 5
13006 Marseille
Frankreich
contact@leclere-mdv.com
+33 (0)4 9150 000
+33 (0)4 91673659
Beschreibung:

Countach LP400 S - 1980 Numéro de châssis: #1121154 «Countach!». La légende raconte que c'est par cette expression, typique du patois piémontais et que l'on pourrait traduire maladroitement par «fabuleux», que Nuccio Bertone baptisa ce qui allait devenir l'une des plus incroyables automobiles de la fin du XXème siècle. «Countach!». C'est bien le mot que prononça le responsable du design de la nouvelle Lamborghini lorsqu'il découvrit les lignes du prototype dessiné par son jeune styliste Marcello Gandini Destiné à remplacer la déjà légendaire Miura, le projet 112, lancé à la fin des années 1960, fut donc matérialisé en 1971 par un prototype aux lignes futuristes, démesurément bas, taillé d'un seul trait allant d'une proue très plongeante et démunie de tout ornement à un arrière relevé et orné de feux en trapèze. On retrouvait dans ce dessin les lignes du prototype Carabo de 1968, basé sur une Alfa Romeo 33, déjà dues au talentueux Gandini. Les portes à ouverture en élytre s'ouvrait sur un cockpit au plus près du sol et très avancé afin de dégager de l'espace pour la mécanique, un V12 de 5 litres placé, contrairement à la Miura, en position longitudinale, en avant de l'essieu arrière. Présentée dans cette configuration au Salon de Genève en mars 1971, aux côtés de la Miura SV et sous la dénomination LP500 (pour «Longitudinale Posteriore», et 500 en référence aux 5 litres de cylindrée), la voiture vit sa cylindrée ramenée à 4 litres lors de la présentation d'un modèle quasi-définitif, rebaptisé LP400, deux ans plus tard, toujours à Genève. Le châssis en tôle d'acier caissonnée de la LP500, proche de celui de la Miura, avait quant à lui laissé sa place à un treillis tubulaire, jugé moins couteux à produire et plus rigide. Oeuvre de Paolo Stanzani, qui avait remplacé Gianpaolo Dallara à la tête de la direction technique, ce châssis confèrait à la voiture une excellente maniabilité et une plus grande facilité de conduite comparativement à la Miura. Commercialisée en 1974, la voiture restait proche des lignes du modèle du Salon 1973, mais se vit équipée de deux prises d'air proéminentes destinées à alimenter en air frais les radiateurs placés en position transversale. De l'air frais, il en fallait pour refroidir les ardeurs du V12 à quatre arbres à cames en tête et 6 carburateurs double corps développant la bagatelle de 375cv, et n'ayant qu'un peu plus d'une tonne à mouvoir... Avec un rapport poids/puissance d'environ 2,85kg/cv, la voiture surclassait quasiment tout ce qui roulait alors, y compris la rivale Ferrari 365 BB... En 1978, Lamborghini, toujours fidèle au Salon de Genève, présenta une évolution de sa supercar, inspirée par la Countach unique commandée en 1974 par l'entrepreneur canadien et propriétaire de l'écurie de F1 éponyme Walter Wolf. Baptisée LP400 S, la voiture se voyait dotée de tout nouveaux pneumatiques Pirelli P7 à profil bas montés sur des roues, toujours de la marque Campagnolo, mais désormais de types «téléphone» à 5 trous, du même type que celles qui équipaient le prototype Lamborghini Bravo de 1974. L'arrivée de ces pneumatiques obligea Stanzani et Dallara, entre-temps devenu consultant pour la marque, à revoir entièrement la géométrie des suspensions de la voiture, afin d'exploiter au mieux le formidable grip apporté par les monstrueux P7 de 345mm de larges à l'arrière... Pour loger ces nouvelles roues, la voiture était maintenant équipée d'extensions d'ailes qui dénaturaient sensiblement la pureté du dessin originel de Gandini. On notait également l'ajout d'un spoiler aérodynamique à l'avant. En option, le client pouvait doter la voiture d'un gigantesque aileron arrière en V qui, s'il augmentait la stabilité de la voiture à haute vitesse et renforçait son impact visuel, réduisait de 20km/heure la vitesse de pointe. La voiture était donc plus stable, mais aussi légèrement plus lourde. Mécaniquement, la voiture restait inchangée est développait toujours la puissance respectable de 375cv. Seules les dernièr

Auktionsarchiv: Los-Nr. 15
Auktion:
Datum:
16.12.2012
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