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Auktionsarchiv: Los-Nr. 25

COLLIER d'inspiration africaine orné de

Bijoux
10.11.2010
Schätzpreis
150 € - 250 €
ca. 204 $ - 341 $
Zuschlagspreis:
130 €
ca. 177 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 25

COLLIER d'inspiration africaine orné de

Bijoux
10.11.2010
Schätzpreis
150 € - 250 €
ca. 204 $ - 341 $
Zuschlagspreis:
130 €
ca. 177 $
Beschreibung:

COLLIER d'inspiration africaine orné de trois rangs de boules de bois et d'éléments en métal doré satiné. Longueur : 39 cm Les bijoux Cadoro, en unisson avec l'industrie de la «Costume Jewelry» aux États-Unis, ont révolutionné l'art du bijou dans les années 1960 et 1970. La nouveauté venait cette fois-ci du côté de l'Amérique avec un duo de designers, Daniel Stoenescu et Steven Brody, co-fondateurs de la célèbre marque établie sur la cinquième avenue, depuis 1954. Étranges destins de ce fils de prince roumain, et de cet acteur et chanteur de Broadway, qui se rencontrèrent à Paris, pour breveter des contrats dans l'industrie du plastique avant de s'en retourner à New-York, créer une marque de bijoux. Celle-ci puisa son inspiration dans toutes les cultures, conférant un caractère ethnique à ses créations d'une indéniable originalité. Des regards croisés sur la Grèce antique, l'Égypte pharaonique ou l'Afrique noire sont à l'origine de bijoux spectaculaires, souvent de grandes dimensions comme ces pectoral ou ces colliers interminables enlaçant le corps comme une liane. En 1970, Stoenescu et Brody conçurent une collection inspirée des indiens Hopi d'Amérique du Nord qui remporta le prestigieux Coty American Fashion Critic's Awards, qui récompensa la maison Cadoro pour la qualité de ses fabrications, en particulier ses finitions à l'or fin, ainsi que son inépuisable inventivité, qui séduisait les stars du jeune, comme du vieux continent. En 1969, Brigitte Bardot enflamma le port de Saint-Tropez avec un inoubliable soutien-gorge en plaques de métal doré, l'un des lots phares de la vente, estimé 150/250 euros. Ils avaient « un talent fou », écrivit l'actrice française sur une carte de visite. Valentino et Nina Ricci commandèrent des éditions spéciales au plus fort de leur succès dans les années 1960. Leurs bijoux firent les couvertures des magazines et habillèrent les plus belles mannequins de l?époque : Brigitte Bauer en 1965, pour Vogue ou Samantha Jones, en 1969, pour Harper's Baazar. Cette année-là, la reconnaissance fut totale, les bijoux Cadoro furent sélectionnés pour participer à la fameuse exposition « Design in the 60's », organisée par le Museum of Modern Art (MOMA) qui procéda, à cette occasion, à plusieurs acquisitions importantes, suivi dans ce choix avant-gardiste par le Costume Institute du Metropolitan Museum de New York. La décennie suivante fut marquée par l'apport de nouvelles énergies avec l'arrivée du créateur français Jean-François-Herbert en 1971, rejoint par Max Wayne Frescoln, en 1976, l'année même du décès du fondateur Daniel Stoenescu. La maison continua en embellir les femmes jusqu'en 1987, concluant ainsi trois décennies d'inépuisable créativité au service de l'élégance et de la féminité. La vente organisée le Mercredi 10 Novembre prochain, à Drouot, rend hommage à cette épopée américaine qui consacra la renaissance du Costume Jewelery, qui associait audace et humour avec un grand raffinement.

Auktionsarchiv: Los-Nr. 25
Auktion:
Datum:
10.11.2010
Auktionshaus:
Pierre Bergé & Associés
92 avenue d'Iéna
75116 Paris
Frankreich
agodeau@pba-auctions.com
+33 (0)1 4949 9000
+33 (0)1 4949 9001
Beschreibung:

COLLIER d'inspiration africaine orné de trois rangs de boules de bois et d'éléments en métal doré satiné. Longueur : 39 cm Les bijoux Cadoro, en unisson avec l'industrie de la «Costume Jewelry» aux États-Unis, ont révolutionné l'art du bijou dans les années 1960 et 1970. La nouveauté venait cette fois-ci du côté de l'Amérique avec un duo de designers, Daniel Stoenescu et Steven Brody, co-fondateurs de la célèbre marque établie sur la cinquième avenue, depuis 1954. Étranges destins de ce fils de prince roumain, et de cet acteur et chanteur de Broadway, qui se rencontrèrent à Paris, pour breveter des contrats dans l'industrie du plastique avant de s'en retourner à New-York, créer une marque de bijoux. Celle-ci puisa son inspiration dans toutes les cultures, conférant un caractère ethnique à ses créations d'une indéniable originalité. Des regards croisés sur la Grèce antique, l'Égypte pharaonique ou l'Afrique noire sont à l'origine de bijoux spectaculaires, souvent de grandes dimensions comme ces pectoral ou ces colliers interminables enlaçant le corps comme une liane. En 1970, Stoenescu et Brody conçurent une collection inspirée des indiens Hopi d'Amérique du Nord qui remporta le prestigieux Coty American Fashion Critic's Awards, qui récompensa la maison Cadoro pour la qualité de ses fabrications, en particulier ses finitions à l'or fin, ainsi que son inépuisable inventivité, qui séduisait les stars du jeune, comme du vieux continent. En 1969, Brigitte Bardot enflamma le port de Saint-Tropez avec un inoubliable soutien-gorge en plaques de métal doré, l'un des lots phares de la vente, estimé 150/250 euros. Ils avaient « un talent fou », écrivit l'actrice française sur une carte de visite. Valentino et Nina Ricci commandèrent des éditions spéciales au plus fort de leur succès dans les années 1960. Leurs bijoux firent les couvertures des magazines et habillèrent les plus belles mannequins de l?époque : Brigitte Bauer en 1965, pour Vogue ou Samantha Jones, en 1969, pour Harper's Baazar. Cette année-là, la reconnaissance fut totale, les bijoux Cadoro furent sélectionnés pour participer à la fameuse exposition « Design in the 60's », organisée par le Museum of Modern Art (MOMA) qui procéda, à cette occasion, à plusieurs acquisitions importantes, suivi dans ce choix avant-gardiste par le Costume Institute du Metropolitan Museum de New York. La décennie suivante fut marquée par l'apport de nouvelles énergies avec l'arrivée du créateur français Jean-François-Herbert en 1971, rejoint par Max Wayne Frescoln, en 1976, l'année même du décès du fondateur Daniel Stoenescu. La maison continua en embellir les femmes jusqu'en 1987, concluant ainsi trois décennies d'inépuisable créativité au service de l'élégance et de la féminité. La vente organisée le Mercredi 10 Novembre prochain, à Drouot, rend hommage à cette épopée américaine qui consacra la renaissance du Costume Jewelery, qui associait audace et humour avec un grand raffinement.

Auktionsarchiv: Los-Nr. 25
Auktion:
Datum:
10.11.2010
Auktionshaus:
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92 avenue d'Iéna
75116 Paris
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+33 (0)1 4949 9001
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