Claude RAIMOND-DITYVON (1937-2008) Manoel de Oliveira Le Soulier de satin, 1985 Tirage argentique d’exposition réalisé par l’auteur, sur papier baryté Au dos : légende manuscrite, cachet de l'auteur, cachet : "Collection Claude Raimond-Dityvon, tirage réalisé par l'auteur" et numéro de référence de classement 5899/5 31,9 x 47,6 cm (40 x 50 cm) Claude Dityvon - Hors-Champ « Le cinéma Enfante » « Dans le cadre d'un travail sur le cinéma, en février 1985 Dityvon se rend aux studios Tobis de Lisbonne pour photographier, en deux journées, le Soulier de satin, œuvre fondamentale dans la filmographie de Manoel de Oliveira Dans des conditions difficiles, éclairage ingrat, sous les luières crues des réflecteurs, Dityvon observe le cinéma se faire. (…) Et, avec cette timidité de la certitude qui lui est propre, il amorce ainsi, se faufilant parmi les figurants, les acteurs, les assistants, des images qui ont grâce de croquis. Dityvon semble découvrir toutes les filiations à l'œuvre dans le septième art, sa véritable circulation des regards, son alternance secrète des points de vue. Manoel de Oliveira vit de la puissance fictive des personnages qui la composent. (…) » Féderico Nicolao Ce travail a fait l'objet d'une exposition qui s'est déroulée du 15 janvier au 1er mars 2002 au centre culturel Calouste Gulbenkian à Paris (Fundação Calouste Gulbenkian).
Claude RAIMOND-DITYVON (1937-2008) Manoel de Oliveira Le Soulier de satin, 1985 Tirage argentique d’exposition réalisé par l’auteur, sur papier baryté Au dos : légende manuscrite, cachet de l'auteur, cachet : "Collection Claude Raimond-Dityvon, tirage réalisé par l'auteur" et numéro de référence de classement 5899/5 31,9 x 47,6 cm (40 x 50 cm) Claude Dityvon - Hors-Champ « Le cinéma Enfante » « Dans le cadre d'un travail sur le cinéma, en février 1985 Dityvon se rend aux studios Tobis de Lisbonne pour photographier, en deux journées, le Soulier de satin, œuvre fondamentale dans la filmographie de Manoel de Oliveira Dans des conditions difficiles, éclairage ingrat, sous les luières crues des réflecteurs, Dityvon observe le cinéma se faire. (…) Et, avec cette timidité de la certitude qui lui est propre, il amorce ainsi, se faufilant parmi les figurants, les acteurs, les assistants, des images qui ont grâce de croquis. Dityvon semble découvrir toutes les filiations à l'œuvre dans le septième art, sa véritable circulation des regards, son alternance secrète des points de vue. Manoel de Oliveira vit de la puissance fictive des personnages qui la composent. (…) » Féderico Nicolao Ce travail a fait l'objet d'une exposition qui s'est déroulée du 15 janvier au 1er mars 2002 au centre culturel Calouste Gulbenkian à Paris (Fundação Calouste Gulbenkian).
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