Beschreibung:

Carrosserie roadster Moteur avant, 4 cylindres en ligne Cylindrée 1 840 cm3 Puissance 95 ch Vitesse maximale NC Kilométrage NC Numéro de châssis NC La MGB marque un tournant dans l'histoire de MG. Produite dès 1962 sous forme d'un roadster, elle succède à la MGA, dévoilée en 1955 qui avait contribué à moderniser l'image de MG et popularisé son nom avec plus de 110 000 exemplaires vendus dans le monde. Mais la MGB fera bien mieux. Énorme succès commercial, la MGB, longtemps considérée comme la sportive la pus produite de tous les temps, fut construite à plus de 500 000 exemplaires, répartis en 350 000 roadsters et 150 000 coupés, jusqu'à sa disparition en 1980. Elle faisait appel à une structure monocoque et recevait un 4 cylindres de 1 798 cm³ de 95 ch qui lui assurait une vitesse de pointe de 170 km/h et de bonnes accélérations. Sa carrosserie sobre et élégante ne faisait pas dans l'esbrouffe et lui donnait un côté sérieux. Fiable et relativement bon marché, elle connut un succès immédiat et resta inchangée pendant les sept premières années de sa commercialisation. Elle sera déclinée sous forme de coupé, baptisé GT, à partir de 1965 et une version 6 cylindres 3 litres, la MGC, reconnaissable à son bossage de capot, fut commercialisée à partir de 1966 pour remplacer l'Austin-Healey 3000. Le coupé GT fut proposé avec moteur V8 de 1973 à 1976. Malheureusement, à partir de 1975 la version Mk IV à pare-chocs américains à absorption mit à mal la sobriété du modèle original. En 1993, Rover ressuscita la MGB sous forme d'une MG RV8 boursoufflée et équipée d'un V8. La MGB reste l'archétype de la sportive britannique des deux côtés de l'Atlantique. Cette MGB de 1963, présente une carrosserie qui a été restaurée à partir du châssis avec traitement complet antirouille. La mécanique a été révisée et le moteur, quasi neuf, est en fin de rodage avec le «bon» bloc cinq paliers, le pont arrière a été changé (40 000 km aujourd'hui), l'arbre de transmission est neuf (équilibrage statique et dynamique des ensembles bielles/pistons). De nombreux éléments sont neufs, pompes à eau et à essence, radiateur, lames de ressort AR et amortisseurs avant, bagues de train avant, allumage, embrayage, filtre à huile, faisceau, batterie... La voiture comporte aussi de nombreux éléments spécifiques parmi lesquels un arbre à cames 280° «fast road» (Jacquemin Tuning), des pistons forgés, de grosses soupapes avec guides neufs (sièges rectifiés et coussinets neufs), une culasse éprouvée 4 bars, un échappement acier 3 en 2 en 1 avec bandage amiante, un carburateur weber 45 à pipe courte et pointeaux neufs révisé, des culbuteurs à rouleaux en aluminium, un volant moteur allégé, un alternateur (à la place de la dynamo d'origine). Elle est équipée de jantes compétition à 72 rayons (48 d'origine) de 14 pouces repeintes et chaussées de 4 pneus neufs et de sièges baquets Fusina au look d'époque. L'échappement est en état et les freins ont été révisés avec un servo-frein. À l'intérieur les ceintures à enrouleur sont neuves et le tunnel est capitonné. La voiture est vendue avec un hardtop en polyester «look usine» et une bâche récente en état neuf. Une voiture idéale pour les VHC avec une cylindrée d'homologation de 1 840 cm³, éligible à de nombreux événements historiques. Il s'agit d'un authentique roadster, la capote se range dans le coffre avec son armature