CARCO (Francis). Rue Pigalle. Paris : Bernard Grasset, 1927. — In-4, 255 x 192 : frontispice, (4 ff. premier blanc), 124 pp., (3 ff. 2 derniers blancs), 13 planches, couverture imprimée. Broché, couverture rempliée, emboîtage à dos de chagrin noir des ateliers Laurenchet. Édition originale tirée à 338 exemplaires, illustrée de 14 lithographies originales en couleurs hors texte de Marcel VERTÈS tirées par les frères Mourlot. Un des 270 exemplaires sur vélin d’Arches, celui-ci nominatif mais le nom du destinataire a été effacé. Précieux exemplaire ENRICHI À PART DE 17 CROQUIS ORIGINAUX SIGNÉS DE MARCEL VERTÈS au crayon ou à l’encre, qui ont servi d’études à l’illustration du livre. Chaque dessin a été collé sur une feuille de papier vélin. On joint une lettre autographe signée de Francis Carco, d’une page 1/4 in-8, datée du 5 juillet 1945, dans laquelle il remercie son « cher Caïd » notamment « pour les caleçons gorge-de-pigeon ». Il semblerait que le destinataire soit l’écrivain Jean Galtier-Boissière que l’on surnommait le « Caïd ». Exemplaire parfaitement conservé, en partie non coupé.
CARCO (Francis). Rue Pigalle. Paris : Bernard Grasset, 1927. — In-4, 255 x 192 : frontispice, (4 ff. premier blanc), 124 pp., (3 ff. 2 derniers blancs), 13 planches, couverture imprimée. Broché, couverture rempliée, emboîtage à dos de chagrin noir des ateliers Laurenchet. Édition originale tirée à 338 exemplaires, illustrée de 14 lithographies originales en couleurs hors texte de Marcel VERTÈS tirées par les frères Mourlot. Un des 270 exemplaires sur vélin d’Arches, celui-ci nominatif mais le nom du destinataire a été effacé. Précieux exemplaire ENRICHI À PART DE 17 CROQUIS ORIGINAUX SIGNÉS DE MARCEL VERTÈS au crayon ou à l’encre, qui ont servi d’études à l’illustration du livre. Chaque dessin a été collé sur une feuille de papier vélin. On joint une lettre autographe signée de Francis Carco, d’une page 1/4 in-8, datée du 5 juillet 1945, dans laquelle il remercie son « cher Caïd » notamment « pour les caleçons gorge-de-pigeon ». Il semblerait que le destinataire soit l’écrivain Jean Galtier-Boissière que l’on surnommait le « Caïd ». Exemplaire parfaitement conservé, en partie non coupé.
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