Le paradis terrestre ». Très important plat circulaire en terre de chamotte. Décor en haut-relief « d'Adam et Eve » entourés d'animaux de la création. Emaux polychromes sur fond vert nuancé. Signature manuscrite incisée « G. Carbonell ». - Circa 1942. Diam. 100 cm Cette oeuvre fut présentée en 1944, au moment du débarquement des Alliés, dans une exposition consacrée uniquement aux céramiques, à la Compagnie des Arts Français, 116, Rue du Faubourg Saint-Honoré - Paris. L'artiste dut à l'époque, oeuvrer toute une année pour la préparation du moule. Il en fut tiré cinq exemplaires. Le premier fût acquis par l'état à la suite de l'exposition présentée chez Jacques Adnet (cf. courrier adressé à l'artiste en date du 13 février 1945). C'est en 1952 que l'oeuvre fut mise en exergue à la Mairie de Havre, pour être ensuite accueillie au Musée des Beaux-Arts de cette même ville. Elle fait partie maintenant du fond National d'Art Contemporain. Sur ces cinq pièces, trois furent réalisées dans des couleurs différentes, dans les mêmes nuances de tons (dont l'exemplaire du musée des Beaux- Arts). Un exemplaire fut entièrement émaillé blanc. Un autre resta à l'état de terre cuite. L'exemplaire que nous présentons est l'un des trois exemplaires polychromes. Une photographie d'époque, réalisée en juin 1944, nous montre cette oeuvre présentée au mur sur un socle blanc.
Le paradis terrestre ». Très important plat circulaire en terre de chamotte. Décor en haut-relief « d'Adam et Eve » entourés d'animaux de la création. Emaux polychromes sur fond vert nuancé. Signature manuscrite incisée « G. Carbonell ». - Circa 1942. Diam. 100 cm Cette oeuvre fut présentée en 1944, au moment du débarquement des Alliés, dans une exposition consacrée uniquement aux céramiques, à la Compagnie des Arts Français, 116, Rue du Faubourg Saint-Honoré - Paris. L'artiste dut à l'époque, oeuvrer toute une année pour la préparation du moule. Il en fut tiré cinq exemplaires. Le premier fût acquis par l'état à la suite de l'exposition présentée chez Jacques Adnet (cf. courrier adressé à l'artiste en date du 13 février 1945). C'est en 1952 que l'oeuvre fut mise en exergue à la Mairie de Havre, pour être ensuite accueillie au Musée des Beaux-Arts de cette même ville. Elle fait partie maintenant du fond National d'Art Contemporain. Sur ces cinq pièces, trois furent réalisées dans des couleurs différentes, dans les mêmes nuances de tons (dont l'exemplaire du musée des Beaux- Arts). Un exemplaire fut entièrement émaillé blanc. Un autre resta à l'état de terre cuite. L'exemplaire que nous présentons est l'un des trois exemplaires polychromes. Une photographie d'époque, réalisée en juin 1944, nous montre cette oeuvre présentée au mur sur un socle blanc.
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