Beschreibung:

BRETON, André Second manifeste du Surréalisme. Frontispice de Salvador Dali Paris, Editions Kra, 1930 « LA MAIN SANGLANTE LEVÉE EST PRISONNIÈRE DES ÉTOILES ». ENVOI D'ANDRÉ BRETON À PAUL BONET. EXEMPLAIRE RELIÉ PAR LUI ET POUR LUI DANS UNE SUPERBE RELIURE PHOTOGRAPHIQUE In-4 (279 x 220 mm) TIRAGE : un des 60 exemplaires sur vélin annam des papeteries de rives avec un frontispice en couleur de Dalí, celui-ci n° 34 ILLUSTRATION : Frontispice de Salvador Dali, colorié au pochoir dans les ateliers de D. Jacomet et Cie. ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ de Breton à Bonet : A Paul Bonet qui fait lever dans le cuir toutes les étoiles dans la voix, qui fait battre l’aile du sens dans le métal PIÈCES JOINTES : 1. Lettre autographe signée d’André Breton à Paul Bonet, à propos des exemplaires du Manifeste et du Second Manifeste de René Gaffé (reliés uniformément en nickel, Bonet, Carnets, n° 152 et 177) et du présent exemplaire dont « la dédicace manque encore mais je comblerai cette lacune la première fois que j’aurai le plaisir de vous voir », Paris, 3 avril 1931, 1 p. in-8 (210 x 145 mm), encre noire 2. La Révolution Surréaliste . Numéro 12 – Cinquième année – 15 Décembre 1929, contenant la pré-originale du Second manifeste du Surréalisme . RELIURE PHOTOGRAPHIQUE SIGNÉ DE PAUL BONET, datée 1934. Demi-maroquin noir, plats entièrement recouverts d'une photographie montrant une main ouverte, à la paume zébrée d’une pièce de box rouge carmin mosaïquée représentant un éclair, une plaie béante, et entourée d'un cercle d'étoiles dorées traversant, deux étoiles à cinq branches au filet doré et en partie mosaïquées de box bleu marine, décor répété au second plat sans les pièces de box, tête dorée, couverture et dos conservés, chemise, étui. PROVENANCE : Paul Bonet (envoi ; ex-libris frappé dans la reliure ; vente Paris, 22-23 avril 1970, n° 63) Cette superbe reliure fait partie de la première série de huit reliures photographiques de Paul Bonet, réalisées à l'époque de la publication du livre. Elles ont été exposées au Salon d'Automne de 1934. Et on retrouve celle-ci sur la fameuse planche 39 des Carnets . RÉFÉRENCE : Paul Bonet, Carnets , 273