Belle table à écrire en marqueterie (sur ses quatre faces) de fleurs sur fond de bois de rose dans des encadrements d'amarante, ouvrant à un tiroir contenant un compartiment et une tablette à dessus de cuir, deux vantaux avec une étagère à l'intérieur; dessus de marbre (réparé) fleur de pêcher (anciennement coulissant). Estampille de RVLC et JME, Roger Vandercruse La Croix, ébéniste reçu maître en 1755. Époque Louis XV, vers 1760 (restaurations). Hauteur: 76,5 cm - Largeur: 44,5 cm Profondeur: 34,5 cm Ce type de table également appelé table à «en cas» présente une structure composée d'un tiroir surmontant deux vantaux. On trouve ce modèle décrit dans N. de Reyniès, Le Mobilier domestique, Paris, 2003, p. 356-357. Notre exemplaire est quant à lui également muni d'un tiroir à écrire constituant un raffinement supplémentaire. Certains exemplaires ouvrent à rideaux dissimulant parfois des tiroirs, d'autres sont également équipés de poignées sur les côtés. Cette marqueterie de fleurs, disposée dans des encadrements d'amarante contournés, au décor unifié en façade, masquant visuellement la présence des tiroirs, évoque tout aussi bien RVLC, ayant réalisé cette table, que BVRB; tous les deux travaillant bien souvent sous la direction et sur la commande du marchand mercier Simon-Philippe-Poirier
Belle table à écrire en marqueterie (sur ses quatre faces) de fleurs sur fond de bois de rose dans des encadrements d'amarante, ouvrant à un tiroir contenant un compartiment et une tablette à dessus de cuir, deux vantaux avec une étagère à l'intérieur; dessus de marbre (réparé) fleur de pêcher (anciennement coulissant). Estampille de RVLC et JME, Roger Vandercruse La Croix, ébéniste reçu maître en 1755. Époque Louis XV, vers 1760 (restaurations). Hauteur: 76,5 cm - Largeur: 44,5 cm Profondeur: 34,5 cm Ce type de table également appelé table à «en cas» présente une structure composée d'un tiroir surmontant deux vantaux. On trouve ce modèle décrit dans N. de Reyniès, Le Mobilier domestique, Paris, 2003, p. 356-357. Notre exemplaire est quant à lui également muni d'un tiroir à écrire constituant un raffinement supplémentaire. Certains exemplaires ouvrent à rideaux dissimulant parfois des tiroirs, d'autres sont également équipés de poignées sur les côtés. Cette marqueterie de fleurs, disposée dans des encadrements d'amarante contournés, au décor unifié en façade, masquant visuellement la présence des tiroirs, évoque tout aussi bien RVLC, ayant réalisé cette table, que BVRB; tous les deux travaillant bien souvent sous la direction et sur la commande du marchand mercier Simon-Philippe-Poirier
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