2 volumes in-8 (220 x 136 mm). Brochés, chemise et étui. Rousseurs, quelques restaurations de papier à la couverture. Édition originale, ornée de 2 frontispices de Tony Johannot gravés sur bois par Porret et tirés sur Chine volant. Mention de deuxième édition sur la couverture. Envoi autographe signé : "Offert à Madame Ancelot par l’auteur, de Balzac", à l'encre brune sur le faux-titre du tome I. Les deux premiers tomes de Romans et contes philosophiques, renferment La Peau de chagrin et une "Introduction aux Romans et Contes philosophiques" de Philarète Chasles. Exemplaire de madame Ancelot : Balzac rencontre Virginie Ancelot, née Marguerite Chardon (1792-1875) en 1831. Elle tenait un des salons littéraires les plus en vue sous la Monarchie de Juillet. En 1831, Balzac venait de lire Le Père Goriot dans plusieurs salons, dont certainement celui de Mme de Récamier, grande rivale de Mme Ancelot. Voulant l'attirer dans son salon, cette dernière commença à lui écrire. Débuta alors entre eux une amitié littéraire et mondaine. Les notes d’Antoine Fontaney, dans son Journal intime du 13 septembre 1831, nous renseignent sur la présence de Balzac dans le salon de celle-ci : "Soirée chez Mme Ancelot [...] M. de Balzac magnifique''. Il y aura d'autres invitations littéraires cette même année. C'est peut-être au cours d'une des ces soirées que Balzac lui offrit cet exemplaire.
2 volumes in-8 (220 x 136 mm). Brochés, chemise et étui. Rousseurs, quelques restaurations de papier à la couverture. Édition originale, ornée de 2 frontispices de Tony Johannot gravés sur bois par Porret et tirés sur Chine volant. Mention de deuxième édition sur la couverture. Envoi autographe signé : "Offert à Madame Ancelot par l’auteur, de Balzac", à l'encre brune sur le faux-titre du tome I. Les deux premiers tomes de Romans et contes philosophiques, renferment La Peau de chagrin et une "Introduction aux Romans et Contes philosophiques" de Philarète Chasles. Exemplaire de madame Ancelot : Balzac rencontre Virginie Ancelot, née Marguerite Chardon (1792-1875) en 1831. Elle tenait un des salons littéraires les plus en vue sous la Monarchie de Juillet. En 1831, Balzac venait de lire Le Père Goriot dans plusieurs salons, dont certainement celui de Mme de Récamier, grande rivale de Mme Ancelot. Voulant l'attirer dans son salon, cette dernière commença à lui écrire. Débuta alors entre eux une amitié littéraire et mondaine. Les notes d’Antoine Fontaney, dans son Journal intime du 13 septembre 1831, nous renseignent sur la présence de Balzac dans le salon de celle-ci : "Soirée chez Mme Ancelot [...] M. de Balzac magnifique''. Il y aura d'autres invitations littéraires cette même année. C'est peut-être au cours d'une des ces soirées que Balzac lui offrit cet exemplaire.
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