Portrait de Madame Elisabeth (1764-1794) au Temple. Huile sur panneau, conservée dans un cadre ancien en bois doré. Bon état général. A vue: H.: 65 cm - L.: 50 cm. Cadre: H.: 75 cm - L.: 62 cm. Référence: Ce dernier portrait de la sur de Louis XVI, qui partagea le destin tragique de la famille royale de France, a été peint sur panneau après que l'artiste eut réalisé sur le vif des croquis des prisonniers du Temple. De ces portraits nous est parvenu celui de Marie-Antoinette que nous connaissons par la très belle version au pastel issue des collections Walsh et malheureusement disparue depuis, mais dont dérivent toutes les effigies dites «dernier portrait de Marie-Antoinette» et attribuées à Kucharski. D'après Olivier Blanc qui a consulté les archives Kuscharski aux Archives de Paris, le portraitiste officiel de la reine (depuis le départ de Mme Vigée le Brun) a continué de fournir à sa clientèle des répliques peintes à l'huile et au pastel des portraits royaux qu'il avait esquissés aux Tuileries puis au Temple à l'époque de la Révolution: celui du dauphin fut le plus demandé sous l'Empire. Celui de Madame Elisabeth, dont on ne connaît pas d'autre version, a d'abord été exécuté à la prison du Temple avant d'être peint en atelier, comme en témoigne le costume de la princesse et principalement ce grand bonnet que fournissait encore à cette époque (fin 1792) la maison de Mme Eloffe. Bibliographie: ce portrait figure dans l'ouvrage d'Olivier Blanc, «Portraits de femmes, artistes et modèles à l'époque de Marie-Antoinette», publié aux éditions Didier Carpentier, en 2006 page 188 et page 189. Exposition: cette uvre fut présentée dans le cadre de l'exposition intitulée «Madame Elisabeth, une princesse au destin tragique» à Versailles en 2013, voir page 65(*)
Portrait de Madame Elisabeth (1764-1794) au Temple. Huile sur panneau, conservée dans un cadre ancien en bois doré. Bon état général. A vue: H.: 65 cm - L.: 50 cm. Cadre: H.: 75 cm - L.: 62 cm. Référence: Ce dernier portrait de la sur de Louis XVI, qui partagea le destin tragique de la famille royale de France, a été peint sur panneau après que l'artiste eut réalisé sur le vif des croquis des prisonniers du Temple. De ces portraits nous est parvenu celui de Marie-Antoinette que nous connaissons par la très belle version au pastel issue des collections Walsh et malheureusement disparue depuis, mais dont dérivent toutes les effigies dites «dernier portrait de Marie-Antoinette» et attribuées à Kucharski. D'après Olivier Blanc qui a consulté les archives Kuscharski aux Archives de Paris, le portraitiste officiel de la reine (depuis le départ de Mme Vigée le Brun) a continué de fournir à sa clientèle des répliques peintes à l'huile et au pastel des portraits royaux qu'il avait esquissés aux Tuileries puis au Temple à l'époque de la Révolution: celui du dauphin fut le plus demandé sous l'Empire. Celui de Madame Elisabeth, dont on ne connaît pas d'autre version, a d'abord été exécuté à la prison du Temple avant d'être peint en atelier, comme en témoigne le costume de la princesse et principalement ce grand bonnet que fournissait encore à cette époque (fin 1792) la maison de Mme Eloffe. Bibliographie: ce portrait figure dans l'ouvrage d'Olivier Blanc, «Portraits de femmes, artistes et modèles à l'époque de Marie-Antoinette», publié aux éditions Didier Carpentier, en 2006 page 188 et page 189. Exposition: cette uvre fut présentée dans le cadre de l'exposition intitulée «Madame Elisabeth, une princesse au destin tragique» à Versailles en 2013, voir page 65(*)
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