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Auktionsarchiv: Los-Nr. 253

Anastasia Mikhailovna, grande-duchesse de

Schätzpreis
2.000 € - 3.000 €
ca. 2.605 $ - 3.907 $
Zuschlagspreis:
2.000 €
ca. 2.605 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 253

Anastasia Mikhailovna, grande-duchesse de

Schätzpreis
2.000 € - 3.000 €
ca. 2.605 $ - 3.907 $
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2.000 €
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Beschreibung:

Anastasia Mikhailovna, grande-duchesse de Russie (1860-1922). Bel et rare ensemble de 24 lettres autographes signées, dont: - 5 L.A.S. «Maman», adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par sa mère la grandeduchesse Olga Féodorovna, née Cécilia princesse de Bade (1839-1891), sur papier à en-tête, texte en français datant du 3 décembre 1887 au 29 févier 1888. - 4 L.A.S. «Papa», adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par son père le grand-duc Michel Nicolaïévitch de Russie (1832-1909), sur papier à en-tête, texte en russe, de Saint-Pétersbourg, datant du 16 décembre 1897 au 23 février 1900. - 15 L.A.S. «Sandro» adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par son frère, le grand-duc Alexandre Mikhaïlovitch de Russie (1866-1933), texte en russe, certaines à en-têtes de l'Hôtel Ritz à Paris, datant du 26 octobre 1905 au 20 décembre 1921. - 6 L.A.S. «Sandro» adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par son frère, le grand-duc Alexandre Mikhaïlovitch de Russie (1866-1933), texte en russe, certaines à en-tête de l'Hôtel Ritz à Paris, datant du 26 octobre 1905 au 19 novembre 1920. On y joint une liste manuscrite identifiant des photographies dans un album, datant de septembre 1914 à septembre 1915. Grande-Duchesse Olga Féodorovna à sa fille Anastasia, 18 Janvier 1888, Saint-Pétersbourg. «[...] Papa et moi nous sommes très tristes et moi outrée. C'est évidemment Misha qui nous cause du chagrin. Il ne m'a fait que des... depuis qu'il est au monde. Maintenant, il veut épouser la 2ème Ignatieff. Tu crois peut-être que c'est une plaisanterie! Pas du tout...» Grand-Duc Michel Nicolaiévitch à sa fille Anastasia, 17 Décembre 1899, Saint-Pétersbourg. «[...] Premièrement, au sujet de Misha ton frère, son comportement et son activité depuis juin continuent de me chagriner et me rendre en colère! [...] Sa Majesté ne m'a pas dit un mot sur la lettre que Misha lui a écrite, envoyé sous le nom «Diky», mais il la donna à lire à ton frère Serge, ce qui le fit rire, ce fut si naïf et stupide. Misha insiste sur le fait que sa femme doit être reconnue par Leurs Majestés avant qu'il ne vienne en Russie, cela ne sera jamais accepté. Cette volonté de Misha, bien sûr sous l'influence de Sophie, est stupide, imprudent et impardonnable!» Grand-Duc Alexandre Mikhailovitch à sa soeur Anastasia, 26 Octobre 1905, Paris. «[...] Bien sûr le lieu le plus approprié serait ta maison, bien sûr je paierai tout. [...] Tu vois nous sommes tellement que nous avons besoin de 16 chambres, et je pense que nous emmènerons notre docteur avec nous. Si tu penses que c'est meilleur pour nous de rester à l'hôtel, ce serait mieux de louer un étage entier pour avoir assez de chambres. J'attends ta lettre, ne dis à personne que nous arrivons. Finalement nous avons une constitution démolie. Je suis contre cela, parce que la Russie sera perdue et tout sera dans les mains des Juifs...» Grand-Duc Alexandre Mikhailovitch à sa soeur Anastasia, 13 Avril 1919, Paris. «[...] Dieu merci l'impératrice douairière et toute ma famille sont allés en Crimée dans son bateau adoré, ils ne m'ont pas écouté et voilà le résultat, ils ont dû partir au dernier moment. Mais qu'arrivera-t-il aux milliers parmi les milliers de gens qui vivent partout en Crimée? Ce fut la place où tout le monde est venu, tout ceux pour qui les Alliés vont défendre la Crimée. C'est horrible de penser à ce qu'il s'y passe...» Grand-Duc Alexandre Mikhailovitch à sa soeur Anastasia, 21 Août 1919, Paris. «[...] J'ai vu Xénia en dehors puis suis resté tout seul, mais Irina, Felix [Youssoupoff], Andrey, Olga et Feodor sont restés avec moi. La semaine prochaine, Irina, son mari et les enfants vont à Londres, et je retournerai à Biarritz. Je suis resté là-bas depuis avril, Irina, Felix et leur 3 fils aînés sont aussi restés, pensant qu'ils aimeraient Biarritz. Les choses en Russie me

Auktionsarchiv: Los-Nr. 253
Auktion:
Datum:
03.04.2013
Auktionshaus:
Etude Coutau-Begarie
60 av de la bourdonnais
75007 Paris
Frankreich
information@coutaubegarie.com
+33 (0)1 45561220
+33 (0)1 45561440
Beschreibung:

Anastasia Mikhailovna, grande-duchesse de Russie (1860-1922). Bel et rare ensemble de 24 lettres autographes signées, dont: - 5 L.A.S. «Maman», adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par sa mère la grandeduchesse Olga Féodorovna, née Cécilia princesse de Bade (1839-1891), sur papier à en-tête, texte en français datant du 3 décembre 1887 au 29 févier 1888. - 4 L.A.S. «Papa», adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par son père le grand-duc Michel Nicolaïévitch de Russie (1832-1909), sur papier à en-tête, texte en russe, de Saint-Pétersbourg, datant du 16 décembre 1897 au 23 février 1900. - 15 L.A.S. «Sandro» adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par son frère, le grand-duc Alexandre Mikhaïlovitch de Russie (1866-1933), texte en russe, certaines à en-têtes de l'Hôtel Ritz à Paris, datant du 26 octobre 1905 au 20 décembre 1921. - 6 L.A.S. «Sandro» adressées à la grande-duchesse Anastasia Mikhaïlovna, grande-duchesse de Russie, par son frère, le grand-duc Alexandre Mikhaïlovitch de Russie (1866-1933), texte en russe, certaines à en-tête de l'Hôtel Ritz à Paris, datant du 26 octobre 1905 au 19 novembre 1920. On y joint une liste manuscrite identifiant des photographies dans un album, datant de septembre 1914 à septembre 1915. Grande-Duchesse Olga Féodorovna à sa fille Anastasia, 18 Janvier 1888, Saint-Pétersbourg. «[...] Papa et moi nous sommes très tristes et moi outrée. C'est évidemment Misha qui nous cause du chagrin. Il ne m'a fait que des... depuis qu'il est au monde. Maintenant, il veut épouser la 2ème Ignatieff. Tu crois peut-être que c'est une plaisanterie! Pas du tout...» Grand-Duc Michel Nicolaiévitch à sa fille Anastasia, 17 Décembre 1899, Saint-Pétersbourg. «[...] Premièrement, au sujet de Misha ton frère, son comportement et son activité depuis juin continuent de me chagriner et me rendre en colère! [...] Sa Majesté ne m'a pas dit un mot sur la lettre que Misha lui a écrite, envoyé sous le nom «Diky», mais il la donna à lire à ton frère Serge, ce qui le fit rire, ce fut si naïf et stupide. Misha insiste sur le fait que sa femme doit être reconnue par Leurs Majestés avant qu'il ne vienne en Russie, cela ne sera jamais accepté. Cette volonté de Misha, bien sûr sous l'influence de Sophie, est stupide, imprudent et impardonnable!» Grand-Duc Alexandre Mikhailovitch à sa soeur Anastasia, 26 Octobre 1905, Paris. «[...] Bien sûr le lieu le plus approprié serait ta maison, bien sûr je paierai tout. [...] Tu vois nous sommes tellement que nous avons besoin de 16 chambres, et je pense que nous emmènerons notre docteur avec nous. Si tu penses que c'est meilleur pour nous de rester à l'hôtel, ce serait mieux de louer un étage entier pour avoir assez de chambres. J'attends ta lettre, ne dis à personne que nous arrivons. Finalement nous avons une constitution démolie. Je suis contre cela, parce que la Russie sera perdue et tout sera dans les mains des Juifs...» Grand-Duc Alexandre Mikhailovitch à sa soeur Anastasia, 13 Avril 1919, Paris. «[...] Dieu merci l'impératrice douairière et toute ma famille sont allés en Crimée dans son bateau adoré, ils ne m'ont pas écouté et voilà le résultat, ils ont dû partir au dernier moment. Mais qu'arrivera-t-il aux milliers parmi les milliers de gens qui vivent partout en Crimée? Ce fut la place où tout le monde est venu, tout ceux pour qui les Alliés vont défendre la Crimée. C'est horrible de penser à ce qu'il s'y passe...» Grand-Duc Alexandre Mikhailovitch à sa soeur Anastasia, 21 Août 1919, Paris. «[...] J'ai vu Xénia en dehors puis suis resté tout seul, mais Irina, Felix [Youssoupoff], Andrey, Olga et Feodor sont restés avec moi. La semaine prochaine, Irina, son mari et les enfants vont à Londres, et je retournerai à Biarritz. Je suis resté là-bas depuis avril, Irina, Felix et leur 3 fils aînés sont aussi restés, pensant qu'ils aimeraient Biarritz. Les choses en Russie me

Auktionsarchiv: Los-Nr. 253
Auktion:
Datum:
03.04.2013
Auktionshaus:
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+33 (0)1 45561220
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