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Auktionsarchiv: Los-Nr. 208

ALBERT UDERZO

Auction 21.05.2016
21.05.2016
Schätzpreis
100.000 € - 120.000 €
ca. 113.110 $ - 135.733 $
Zuschlagspreis:
170.000 €
ca. 192.288 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 208

ALBERT UDERZO

Auction 21.05.2016
21.05.2016
Schätzpreis
100.000 € - 120.000 €
ca. 113.110 $ - 135.733 $
Zuschlagspreis:
170.000 €
ca. 192.288 $
Beschreibung:

ALBERT UDERZO ASTÉRIX, LES LAURIERS DE CÉSAR (T.18), DARGAUD 1972 Planche originale n°13 prépubliée dans Pilote n°627 de novembre 1967. Signée. Encre de Chine sur papier 43,8 X 53,4 CM (17,24 X 21,02 IN.) Formidable planche des Lauriers de César où René Goscinny et Albert Uderzo sont au sommet de leur art. On se rappelle qu’au cours d’un repas très arrosé, le chef Abraracoursix avait promis de rapporter à son beau-frère rien de moins que les lauriers de César ! Nos deux Gaulois cherchent donc, coûte que coûte, à se faire engager au service du dictateur romain, ce qui leur vaut une exposition au marché des esclaves, seul moyen trouvé pour se faire recruter. Cette planche, qui se suffit à elle-même sur le plan narratif, rassemble toutes les qualités de la série Astérix : elle commence par une bagarre générale, la spécialité d’Uderzo qui, selon les propres mots de Goscinny, est « capable de dessiner clairement et avec talent n’importe quoi, jusqu’a, et y compris, un combat de pieuvres dans de la gelée de groseilles ». La suite est comme un petit théâtre : les personnages sont posés à même la case, comme sur une scène. Le dialogue, goscinnien à souhait, est un chef-d’oeuvre d’absurde. C’est une des séquences les plus savoureuses de l’album. Il est normal qu’Astérix prenne l’ascendant dans la négociation puisque le marchand d’esclaves n’avait accepté de vendre nos héros qu’à contrecoeur, d’où cette réplique-culte : « Bon, je vous prends mais pas a compte ferme. Si je ne vous vends pas aujourd’hui, vous irez vous faire vendre ailleurs ! »

Auktionsarchiv: Los-Nr. 208
Auktion:
Datum:
21.05.2016
Auktionshaus:
Christie's
Paris
Beschreibung:

ALBERT UDERZO ASTÉRIX, LES LAURIERS DE CÉSAR (T.18), DARGAUD 1972 Planche originale n°13 prépubliée dans Pilote n°627 de novembre 1967. Signée. Encre de Chine sur papier 43,8 X 53,4 CM (17,24 X 21,02 IN.) Formidable planche des Lauriers de César où René Goscinny et Albert Uderzo sont au sommet de leur art. On se rappelle qu’au cours d’un repas très arrosé, le chef Abraracoursix avait promis de rapporter à son beau-frère rien de moins que les lauriers de César ! Nos deux Gaulois cherchent donc, coûte que coûte, à se faire engager au service du dictateur romain, ce qui leur vaut une exposition au marché des esclaves, seul moyen trouvé pour se faire recruter. Cette planche, qui se suffit à elle-même sur le plan narratif, rassemble toutes les qualités de la série Astérix : elle commence par une bagarre générale, la spécialité d’Uderzo qui, selon les propres mots de Goscinny, est « capable de dessiner clairement et avec talent n’importe quoi, jusqu’a, et y compris, un combat de pieuvres dans de la gelée de groseilles ». La suite est comme un petit théâtre : les personnages sont posés à même la case, comme sur une scène. Le dialogue, goscinnien à souhait, est un chef-d’oeuvre d’absurde. C’est une des séquences les plus savoureuses de l’album. Il est normal qu’Astérix prenne l’ascendant dans la négociation puisque le marchand d’esclaves n’avait accepté de vendre nos héros qu’à contrecoeur, d’où cette réplique-culte : « Bon, je vous prends mais pas a compte ferme. Si je ne vous vends pas aujourd’hui, vous irez vous faire vendre ailleurs ! »

Auktionsarchiv: Los-Nr. 208
Auktion:
Datum:
21.05.2016
Auktionshaus:
Christie's
Paris
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