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Auktionsarchiv: Los-Nr. 358

1991 Ferrari F40

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
644.872 €
ca. 880.798 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 358

1991 Ferrari F40

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0 €
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644.872 €
ca. 880.798 $
Beschreibung:

1991 Ferrari F40 Carte grise française Châssis n° ZFFGJ34B000089889 Moteur n° 27564 - Provenance exceptionnelle, pilote de Formule 1 et victorieux des 24H du Mans - Le dernier chef-d'œuvre d'Enzo Ferrari - Carnet tamponné à jour, sort de la grande révision - Faible kilométrage - Certifié par Ferrari Classiche - Livrée neuve à Pierluigi Martini La F40 est connue des passionnés comme la dernière Ferrari conçue et fabriquée sous le contrôle et du vivant d'Enzo Ferrari. Cette voiture radicale reprenait le concept de la Ferrari 288 GTO. Celle-ci, forte de 400 ch et d'un châssis très sportif, dépassait 300 km/h ce qui, en 1984, était réservée à une élite. Ce modèle hors du commun avait marqué l'esprit et Ferrari souhaitait garder son avance sur ses concurrents dans le domaine de très hautes performances. L'année 1987 était particulièrement propice pour marquer un grand coup, car elle correspondait à l'anniversaire des 40 ans de Ferrari. C'est donc en 1987 que la F40 était présentée à quelque 80 journalistes triés sur le volet en présence d'Enzo Ferrari lui-même, de Giovanni Battista Ruzelli (directeur général), de l'ingénieur Materassi (chef de projet) et de Fioravanti (directeur du Centre d'Étude et de Recherche de Pininfarina). Son nom ne devait rien au hasard, le 40 correspondant à l'âge de l'entreprise. Pour la F40, Ferrari avait concentré tout son savoir-faire et elle se rapprochait d'une voiture de course adaptée à la route : son V8 double turbo développait 478 ch à 7 000 tr/mn, elle comportait des suspensions d'une incroyable efficacité et un châssis léger et rigide grâce aux matériaux composites utilisés également pour les capots, les portières et le toit. Au lieu de la boîte de vitesse à cinq rapports classique, le client pouvait commander une version course à crabots. La garde au sol de la voiture pouvait être modifiée selon trois positions : haute, normale et grande vitesse. À partir de 120 km/h, la garde au sol diminuait automatiquement, le relèvement s'effectuant par commande manuelle. La carrosserie, malgré les écopes et les prises d'air aérodynamiques destinées aux douze radiateurs de refroidissement (pour le moteur, les turbos et les transmissions) et les très larges pneumatiques, affichait un excellent Cx de 0,34. La forme de la voiture, signée Pininfarina, traduisait la priorité accordée à la fonction et à l'efficacité aérodynamique, comme en témoignait le large aileron arrière montant presque au niveau du pavillon. Aujourd'hui, les performances de la F40 restent époustouflantes mais, en 1987, la voiture faisait figure d'extra-terrestre : elle atteignait 324 km/h en vitesse de pointe et son chrono sur le km départ arrêté s'établissait à 21 secondes, un temps que n'égalait que quelques rares voitures de production artisanale. Au départ, la F40 devait être produite à 400 exemplaires mais, entraînée par l'engouement des acheteurs et des investisseurs, Ferrari en a produit presque autant que de Daytona, soit environ 1 300 exemplaires. Un an après la présentation de la F40, Enzo Ferrari s'éteignait, à l'âge de 90 ans. Avant de disparaître, il avait eu encore le temps de donner naissance à son dernier chef-d'œuvre sans compromis, la F40. La Ferrari F40 que nous présentons a été livrée neuve le 3 juillet 1991 à Monaco, au pilote de Formule 1 Pierluigi Martini. Elle était de teinte Rosso Fer 300/9 avec intérieur Stoffa Vigogna, un thème classique pour une F40, et qui n'a pas changé depuis l'origine. La voiture n'a connu ensuite que deux autres propriétaires : Emmanuel Doux (du groupe alimentaire éponyme) et un commandant de bord sur Boeing 747, passionné d'automobile depuis sa jeunesse et actuel détenteur de cette belle automobile. Les pièces de suspensions actives ont été déposées chez Ferrari à la demande du propriétaire précédent, mais tout le nécessaire pour remettre en service cette suspension pilotée sera livré avec la voiture. Affichant 29 900 km d'origine, la voiture a bénéficié récemment d'une grande révision dans

Auktionsarchiv: Los-Nr. 358
Auktion:
Datum:
07.02.2014
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1991 Ferrari F40 Carte grise française Châssis n° ZFFGJ34B000089889 Moteur n° 27564 - Provenance exceptionnelle, pilote de Formule 1 et victorieux des 24H du Mans - Le dernier chef-d'œuvre d'Enzo Ferrari - Carnet tamponné à jour, sort de la grande révision - Faible kilométrage - Certifié par Ferrari Classiche - Livrée neuve à Pierluigi Martini La F40 est connue des passionnés comme la dernière Ferrari conçue et fabriquée sous le contrôle et du vivant d'Enzo Ferrari. Cette voiture radicale reprenait le concept de la Ferrari 288 GTO. Celle-ci, forte de 400 ch et d'un châssis très sportif, dépassait 300 km/h ce qui, en 1984, était réservée à une élite. Ce modèle hors du commun avait marqué l'esprit et Ferrari souhaitait garder son avance sur ses concurrents dans le domaine de très hautes performances. L'année 1987 était particulièrement propice pour marquer un grand coup, car elle correspondait à l'anniversaire des 40 ans de Ferrari. C'est donc en 1987 que la F40 était présentée à quelque 80 journalistes triés sur le volet en présence d'Enzo Ferrari lui-même, de Giovanni Battista Ruzelli (directeur général), de l'ingénieur Materassi (chef de projet) et de Fioravanti (directeur du Centre d'Étude et de Recherche de Pininfarina). Son nom ne devait rien au hasard, le 40 correspondant à l'âge de l'entreprise. Pour la F40, Ferrari avait concentré tout son savoir-faire et elle se rapprochait d'une voiture de course adaptée à la route : son V8 double turbo développait 478 ch à 7 000 tr/mn, elle comportait des suspensions d'une incroyable efficacité et un châssis léger et rigide grâce aux matériaux composites utilisés également pour les capots, les portières et le toit. Au lieu de la boîte de vitesse à cinq rapports classique, le client pouvait commander une version course à crabots. La garde au sol de la voiture pouvait être modifiée selon trois positions : haute, normale et grande vitesse. À partir de 120 km/h, la garde au sol diminuait automatiquement, le relèvement s'effectuant par commande manuelle. La carrosserie, malgré les écopes et les prises d'air aérodynamiques destinées aux douze radiateurs de refroidissement (pour le moteur, les turbos et les transmissions) et les très larges pneumatiques, affichait un excellent Cx de 0,34. La forme de la voiture, signée Pininfarina, traduisait la priorité accordée à la fonction et à l'efficacité aérodynamique, comme en témoignait le large aileron arrière montant presque au niveau du pavillon. Aujourd'hui, les performances de la F40 restent époustouflantes mais, en 1987, la voiture faisait figure d'extra-terrestre : elle atteignait 324 km/h en vitesse de pointe et son chrono sur le km départ arrêté s'établissait à 21 secondes, un temps que n'égalait que quelques rares voitures de production artisanale. Au départ, la F40 devait être produite à 400 exemplaires mais, entraînée par l'engouement des acheteurs et des investisseurs, Ferrari en a produit presque autant que de Daytona, soit environ 1 300 exemplaires. Un an après la présentation de la F40, Enzo Ferrari s'éteignait, à l'âge de 90 ans. Avant de disparaître, il avait eu encore le temps de donner naissance à son dernier chef-d'œuvre sans compromis, la F40. La Ferrari F40 que nous présentons a été livrée neuve le 3 juillet 1991 à Monaco, au pilote de Formule 1 Pierluigi Martini. Elle était de teinte Rosso Fer 300/9 avec intérieur Stoffa Vigogna, un thème classique pour une F40, et qui n'a pas changé depuis l'origine. La voiture n'a connu ensuite que deux autres propriétaires : Emmanuel Doux (du groupe alimentaire éponyme) et un commandant de bord sur Boeing 747, passionné d'automobile depuis sa jeunesse et actuel détenteur de cette belle automobile. Les pièces de suspensions actives ont été déposées chez Ferrari à la demande du propriétaire précédent, mais tout le nécessaire pour remettre en service cette suspension pilotée sera livré avec la voiture. Affichant 29 900 km d'origine, la voiture a bénéficié récemment d'une grande révision dans

Auktionsarchiv: Los-Nr. 358
Auktion:
Datum:
07.02.2014
Auktionshaus:
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Frankreich
contact@artcurial.com
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