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Auktionsarchiv: Los-Nr. 360

1969 Lamborghini Miura S

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
785.600 €
ca. 1.073.011 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 360

1969 Lamborghini Miura S

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0 €
Zuschlagspreis:
785.600 €
ca. 1.073.011 $
Beschreibung:

1969 Lamborghini Miura S Titre de circulation italien Châssis n° 4377 Moteur n° 30436 - Etat de conservation exceptionnel - Intérieur d'origine Cinghiale, commande spéciale - La Grand Tourisme la plus rapide à son époque - Livrée neuve en France - Très probablement en peinture d'origine Révolutionnaire ! C'est l'attribut qui convient probablement le mieux à la Lamborghini Miura lorsqu'elle est présentée en 1966. Cette œuvre d'art est due au crayon de Marcello Gandini nouvellement promu responsable du style chez Bertone. Outre la grâce de ses lignes, la Miura propose une architecture novatrice, directement héritée des prototypes de compétition. Prenant à rebrousse poil les productions de ses concurrents directs, Lamborghini s'oriente vers une structure comportant une cellule accolée au fantastique V12 de 3,9 l. de cylindrée implanté en position centrale arrière, ce qui permet d'obtenir une excellente répartition des masses. 350 ch, un poids limité à une tonne : les accélérations sont incroyables et sa vitesse de pointe de 280 km/h fait d'elle la voiture de série la plus rapide du monde lors de sa présentation. En 1968, est présentée la nouvelle Miura S. Evolution de la précédente, les différences sont plus nombreuses qu'on peut l'imaginer. L'équipement s'améliore, le confort également, mais surtout, l'auto voit ses performances grimper encore : 370 ch., 285 km/h en vitesse de pointe et le 0 à 100 km/h qui tangente désormais les 5 secondes, du jamais vu sur une auto immatriculée ! C'est M. Penchinat, brillant promoteur immobilier dans le sud est de la France qui a commandé cette belle Miura chez Voitures Paris Monceau, l'importateur de la marque, après avoir appris dans les journaux que Johnny Hallyday roule en Lamborghini Miura. Elle était de couleur rouge avec l'intérieur en cuir naturel de sanglier. La voiture arrive à Paris début novembre 1969 et elle porte le n° de châssis 4377, c'est la 454ème de la production, elle est immatriculée 9259VY75 le 20.11.1969. Jusqu'en 1973 M. Penchinat aura eu le privilège de parcourir les autoroutes de France entre 200 et 250km/h de moyenne faisant souvent le trajet Nîmes-Paris aller-retour. En 1973 c'est la crise pétrolière, la limitation de vitesse à 130km/h, alors Mr Penchinat préfère vivre avec les souvenirs d'un bolide qui lui avait offert des sensations de voiture de course, que rouler à 130km/h dans le flot des voitures. La Lamborghini est remisée au fond du garage, ses fils sont trop jeunes pour rouler avec alors avec regret il la vend à un garagiste de Nîmes. Aujourd'hui encore elle se présente dans une très belle livrée rouge et le magnifique intérieur confectionné en cuir de sanglier (cinghiale) de couleur beige, avec le cuir des sièges, mais aussi celui tendu sur l'ensemble du tableau de bord, est dans un magnifique état d'origine donnant à cette Miura une touche de classe et d'originalité. Selon Valentino Balboni, seules deux Lamborghini Miura en auraient à l'époque bénéficié. Après sa vie française, dans la région de Nîmes, elle s'en est retournée vers ses terres natales probablement à la fin des années 1970. Elément déterminant pour mieux comprendre le passé de cette voiture, on dispose en effet d'un témoignage important fourni par un personnage éminent dans l'histoire de Lamborghini, Valentino Balboni. Celui-ci fut en effet le chef essayeur de la firme pendant 40 ans. Il a testé la plupart des bolides sortis de l'usine de Sant'Agata, et connaît particulièrement bien cet exemplaire. La voiture a été vérifiée dans les années 90 chez Lamborghini, examen qui a permis d'établir que l'auto se présentait déjà dans un bel état d'origine, qu'il s'agisse de la peinture, de l'intérieur, mais aussi des éléments mécaniques, moteur ou transmission. C'est donc en connaissance de cause qu'il conseille à une de ses relations, Monsieur Carlo Mauri, grand amateur de la marque, de s'en porter acquéreur. C'est chose faite en 1997, et sur les conseils du même Balboni, ce dernier confie l'entretie

Auktionsarchiv: Los-Nr. 360
Auktion:
Datum:
07.02.2014
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1969 Lamborghini Miura S Titre de circulation italien Châssis n° 4377 Moteur n° 30436 - Etat de conservation exceptionnel - Intérieur d'origine Cinghiale, commande spéciale - La Grand Tourisme la plus rapide à son époque - Livrée neuve en France - Très probablement en peinture d'origine Révolutionnaire ! C'est l'attribut qui convient probablement le mieux à la Lamborghini Miura lorsqu'elle est présentée en 1966. Cette œuvre d'art est due au crayon de Marcello Gandini nouvellement promu responsable du style chez Bertone. Outre la grâce de ses lignes, la Miura propose une architecture novatrice, directement héritée des prototypes de compétition. Prenant à rebrousse poil les productions de ses concurrents directs, Lamborghini s'oriente vers une structure comportant une cellule accolée au fantastique V12 de 3,9 l. de cylindrée implanté en position centrale arrière, ce qui permet d'obtenir une excellente répartition des masses. 350 ch, un poids limité à une tonne : les accélérations sont incroyables et sa vitesse de pointe de 280 km/h fait d'elle la voiture de série la plus rapide du monde lors de sa présentation. En 1968, est présentée la nouvelle Miura S. Evolution de la précédente, les différences sont plus nombreuses qu'on peut l'imaginer. L'équipement s'améliore, le confort également, mais surtout, l'auto voit ses performances grimper encore : 370 ch., 285 km/h en vitesse de pointe et le 0 à 100 km/h qui tangente désormais les 5 secondes, du jamais vu sur une auto immatriculée ! C'est M. Penchinat, brillant promoteur immobilier dans le sud est de la France qui a commandé cette belle Miura chez Voitures Paris Monceau, l'importateur de la marque, après avoir appris dans les journaux que Johnny Hallyday roule en Lamborghini Miura. Elle était de couleur rouge avec l'intérieur en cuir naturel de sanglier. La voiture arrive à Paris début novembre 1969 et elle porte le n° de châssis 4377, c'est la 454ème de la production, elle est immatriculée 9259VY75 le 20.11.1969. Jusqu'en 1973 M. Penchinat aura eu le privilège de parcourir les autoroutes de France entre 200 et 250km/h de moyenne faisant souvent le trajet Nîmes-Paris aller-retour. En 1973 c'est la crise pétrolière, la limitation de vitesse à 130km/h, alors Mr Penchinat préfère vivre avec les souvenirs d'un bolide qui lui avait offert des sensations de voiture de course, que rouler à 130km/h dans le flot des voitures. La Lamborghini est remisée au fond du garage, ses fils sont trop jeunes pour rouler avec alors avec regret il la vend à un garagiste de Nîmes. Aujourd'hui encore elle se présente dans une très belle livrée rouge et le magnifique intérieur confectionné en cuir de sanglier (cinghiale) de couleur beige, avec le cuir des sièges, mais aussi celui tendu sur l'ensemble du tableau de bord, est dans un magnifique état d'origine donnant à cette Miura une touche de classe et d'originalité. Selon Valentino Balboni, seules deux Lamborghini Miura en auraient à l'époque bénéficié. Après sa vie française, dans la région de Nîmes, elle s'en est retournée vers ses terres natales probablement à la fin des années 1970. Elément déterminant pour mieux comprendre le passé de cette voiture, on dispose en effet d'un témoignage important fourni par un personnage éminent dans l'histoire de Lamborghini, Valentino Balboni. Celui-ci fut en effet le chef essayeur de la firme pendant 40 ans. Il a testé la plupart des bolides sortis de l'usine de Sant'Agata, et connaît particulièrement bien cet exemplaire. La voiture a été vérifiée dans les années 90 chez Lamborghini, examen qui a permis d'établir que l'auto se présentait déjà dans un bel état d'origine, qu'il s'agisse de la peinture, de l'intérieur, mais aussi des éléments mécaniques, moteur ou transmission. C'est donc en connaissance de cause qu'il conseille à une de ses relations, Monsieur Carlo Mauri, grand amateur de la marque, de s'en porter acquéreur. C'est chose faite en 1997, et sur les conseils du même Balboni, ce dernier confie l'entretie

Auktionsarchiv: Los-Nr. 360
Auktion:
Datum:
07.02.2014
Auktionshaus:
Artcurial
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75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
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