Premium-Seiten ohne Registrierung:

Auktionsarchiv: Los-Nr. 103

1966 - Austin Mini...

Schätzpreis
13.000 € - 18.000 €
ca. 13.929 $ - 19.286 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 103

1966 - Austin Mini...

Schätzpreis
13.000 € - 18.000 €
ca. 13.929 $ - 19.286 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

1966 - Austin Mini Baby Countryman Titre de circulation français Châssis n°883059 Moteur n°8AJ-U-H3443 - Break bois mk1 850cc : chic, pratique et économique ! - Voiture jamais restaurée, traitée au Dinitrol - Même propriétaire depuis près de 40 ans - Freins refaits, suspension et planchers à prévoir La Mini est conçue à la fin des années 1950 par la British Motor Corporation (BMC), suite à la crise du canal de Suez, poussant le constructeur anglais à développer une voiture d’entrée de gamme pour contrer les microcars allemands, certes économiques mais quelque peu archaïques. Parmi les projets présentés à la direction de la BMC, c’est celui de son ingénieur en chef, Alec Issigonis, qui est retenu. Il propose un bloc motopropulseur de 850 cm3 placé à l’avant en position transversale, avec boite de vitesses en dessous et ventilateur à droite. Cette compacité de la mécanique associée à de petites roues de 10 pouces, constituent l’innovation majeure de la future Mini qu’il développe, en permettant de consacrer 80% de son encombrement à l’accueil des occupants et leurs bagages. Formellement Morris Mini Minor ou Austin Seven, la Mini est commercialisée en 1959. D’une taille contenue de 3,05 mètres mais très logeable et sobre avec son poids plume d’environ 600 kg, elle a une excellente tenue de route et procure un réel agrément de conduite. Si les débuts sont timides tant cette voiture est étonnante pour l’époque, elle est finalement rapidement adoptée par tout le monde. Bien aidée en cela, à la fois par les différentes carrosseries et les versions sportives disponibles, séduisant même les stars qui en font avec ses innombrables apparitions cinématographiques et télévisuelles, un véritable accessoire de mode. D’abord disponible en berline deux portes puis en break, une caisse pick-up ainsi que la Moke voient aussi le jour au cours des années 1960, âge d’or de la Mini. Parallèlement, sa puissance ne cesse d’augmenter, dès 1961 avec la version sportive Cooper de 997 cm3, puis sa déclinaison ultime S de 1071 cm3 en 1964, poussée à 1275 cm3 l’année suivante. Elle évolue aussi continuellement pour rester à la page. Ainsi la suspension hydraulastique apparaît en 1964, puis à partir de 1967 c’est la MKII avec sa calandre redessinée et sa lunette arrière agrandie, tandis qu’en 1969 les charnières de portes sont dissimulées et les vitres avant deviennent descendantes pour le type MKIII. Puis la puissance est encore augmentée et les freins à disques sur la MKIV en 1976… Cela va jusqu’à son passage à l’injection en 1992 et sa retraite en 2000. Devenue une marque à part entière en 1969, la Mini a été produite sous différentes marques et licences au gré de la vie tumultueuse du conglomérat automobile British Leyland qui en était propriétaire. Pourtant cela ne l’a pas empêchée d’avoir avec une carrière aussi longue que réussie après plus de 5,3 millions d’exemplaires produits. La Mini : un succès planétaire et phénomène de société ! Notre Mini break « bois » est une attachante Austin Baby Countryman, c’est-à-dire une voiture de la toute première génération du modèle équipée du moteur 850 cm3. Elle a été mise en circulation le 17 décembre 1966 et n’a connu que deux propriétaires depuis 1979, dont le dernier qui la conserve soigneusement depuis 1984 soit près de 40 ans ! Soucieux de préserver sa sympathique petite automobile, dont la réputation d’être sujette à la rouille n’est pas totalement usurpée, il avait fait traiter la voiture au Dinitrol un peu après son achat. Force est de constater qu’il a été bien inspiré puisque même si l’on note la présence de cloques par endroits, qui pourraient être reprises, celles-ci sont assez anciennes et participent d’une certaine manière à la patine de la voiture. Les bois en frêne avaient eux été vernis et sont en excellent état. Les ajustements et les alignements souvent perfectibles sur ces voitures sont par ailleurs bons. Dans l’habitacle, hormis une partie des moquettes qui avait été changée et le siège cond

Auktionsarchiv: Los-Nr. 103
Auktion:
Datum:
11.11.2023
Auktionshaus:
Gérald Richard - Maison de Vente Enchères
592 Boulevard Albert Camus
Bâtiment G
69400 Villefranche
Frankreich
contact@richardmdv.com
+33 (0)4.28.39.00.20
Beschreibung:

1966 - Austin Mini Baby Countryman Titre de circulation français Châssis n°883059 Moteur n°8AJ-U-H3443 - Break bois mk1 850cc : chic, pratique et économique ! - Voiture jamais restaurée, traitée au Dinitrol - Même propriétaire depuis près de 40 ans - Freins refaits, suspension et planchers à prévoir La Mini est conçue à la fin des années 1950 par la British Motor Corporation (BMC), suite à la crise du canal de Suez, poussant le constructeur anglais à développer une voiture d’entrée de gamme pour contrer les microcars allemands, certes économiques mais quelque peu archaïques. Parmi les projets présentés à la direction de la BMC, c’est celui de son ingénieur en chef, Alec Issigonis, qui est retenu. Il propose un bloc motopropulseur de 850 cm3 placé à l’avant en position transversale, avec boite de vitesses en dessous et ventilateur à droite. Cette compacité de la mécanique associée à de petites roues de 10 pouces, constituent l’innovation majeure de la future Mini qu’il développe, en permettant de consacrer 80% de son encombrement à l’accueil des occupants et leurs bagages. Formellement Morris Mini Minor ou Austin Seven, la Mini est commercialisée en 1959. D’une taille contenue de 3,05 mètres mais très logeable et sobre avec son poids plume d’environ 600 kg, elle a une excellente tenue de route et procure un réel agrément de conduite. Si les débuts sont timides tant cette voiture est étonnante pour l’époque, elle est finalement rapidement adoptée par tout le monde. Bien aidée en cela, à la fois par les différentes carrosseries et les versions sportives disponibles, séduisant même les stars qui en font avec ses innombrables apparitions cinématographiques et télévisuelles, un véritable accessoire de mode. D’abord disponible en berline deux portes puis en break, une caisse pick-up ainsi que la Moke voient aussi le jour au cours des années 1960, âge d’or de la Mini. Parallèlement, sa puissance ne cesse d’augmenter, dès 1961 avec la version sportive Cooper de 997 cm3, puis sa déclinaison ultime S de 1071 cm3 en 1964, poussée à 1275 cm3 l’année suivante. Elle évolue aussi continuellement pour rester à la page. Ainsi la suspension hydraulastique apparaît en 1964, puis à partir de 1967 c’est la MKII avec sa calandre redessinée et sa lunette arrière agrandie, tandis qu’en 1969 les charnières de portes sont dissimulées et les vitres avant deviennent descendantes pour le type MKIII. Puis la puissance est encore augmentée et les freins à disques sur la MKIV en 1976… Cela va jusqu’à son passage à l’injection en 1992 et sa retraite en 2000. Devenue une marque à part entière en 1969, la Mini a été produite sous différentes marques et licences au gré de la vie tumultueuse du conglomérat automobile British Leyland qui en était propriétaire. Pourtant cela ne l’a pas empêchée d’avoir avec une carrière aussi longue que réussie après plus de 5,3 millions d’exemplaires produits. La Mini : un succès planétaire et phénomène de société ! Notre Mini break « bois » est une attachante Austin Baby Countryman, c’est-à-dire une voiture de la toute première génération du modèle équipée du moteur 850 cm3. Elle a été mise en circulation le 17 décembre 1966 et n’a connu que deux propriétaires depuis 1979, dont le dernier qui la conserve soigneusement depuis 1984 soit près de 40 ans ! Soucieux de préserver sa sympathique petite automobile, dont la réputation d’être sujette à la rouille n’est pas totalement usurpée, il avait fait traiter la voiture au Dinitrol un peu après son achat. Force est de constater qu’il a été bien inspiré puisque même si l’on note la présence de cloques par endroits, qui pourraient être reprises, celles-ci sont assez anciennes et participent d’une certaine manière à la patine de la voiture. Les bois en frêne avaient eux été vernis et sont en excellent état. Les ajustements et les alignements souvent perfectibles sur ces voitures sont par ailleurs bons. Dans l’habitacle, hormis une partie des moquettes qui avait été changée et le siège cond

Auktionsarchiv: Los-Nr. 103
Auktion:
Datum:
11.11.2023
Auktionshaus:
Gérald Richard - Maison de Vente Enchères
592 Boulevard Albert Camus
Bâtiment G
69400 Villefranche
Frankreich
contact@richardmdv.com
+33 (0)4.28.39.00.20
LotSearch ausprobieren

Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!

  • Auktionssuche und Bieten
  • Preisdatenbank und Analysen
  • Individuelle automatische Suchaufträge
Jetzt einen Suchauftrag anlegen!

Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.

Suchauftrag anlegen