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Auktionsarchiv: Los-Nr. 310

1962 FERRARI 250 GT CABRIOLET

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
827.000 €
ca. 1.104.793 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 310

1962 FERRARI 250 GT CABRIOLET

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827.000 €
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Beschreibung:

1962 FERRARI 250 GT CABRIOLET Carte grise française Châssis n° 3499GT Moteur n° 3499GT - État d'origine totalement exceptionnel - Seulement Deux propriétaires marseillais depuis sa sortie d'usine - Modèle emblématique avec son hard-top d'origine - Deuxième main depuis 1971, toute sa vie à Marseille Avec le moteur 250 apparaît une vaste famille de voitures qui vont faire passer Ferrari de marque confidentielle à celui de constructeur de voitures de sport produites en série. Cette gamme s'appuie sur un moteur conçu par Gioacchino Colombo, un V12 3 litres puissant, souple et adaptable aussi bien à un usage touristique qu'à la compétition. La première 250 est dévoilée en 1952 sous une forme plutôt sportive, bientôt suivie des 250 Ellena et 250 GT Europa. Confortables et bien équipés pour les voyages, ces modèles séduisent une clientèle plus large. Ce développement se confirme avec l'arrivée en 1957 du cabriolet 250 GT PF, les deux dernières lettres correspondant à Pinin Farina (encore écrit en deux mots), à qui est confié le dessin et la fabrication de la carrosserie. C'est ce même Pinin Farina qui assure aussi la réalisation du coupé 250 GT PF présenté en 1958 et qui va faire définitivement passer Ferrari du stade artisanal à celui de la fabrication en (petite) série. Au Salon de Paris 1959, Ferrari présente le cabriolet 250 GT deuxième série, qui adopte sa forme définitive. A l'attrait de sa mécanique d'exception, cette voiture ajoute le plaisir de la conduite décontractée, capote baissé. Ce cabriolet fait partie des modèles les plus "glamour" des années 1960, voire de l'histoire de l'automobile. Les archives Pininfarina indiquent que, à l'origine, le cabriolet 250 GT portant le n° de châssis 3575GT, terminé le 20 juin 1962, était destiné à M. Paulet, par l'intermédiaire de Franco-Britannic Automobiles. Il était commandé de couleur gris clair référence 18933M, avec intérieur cuir Connolly beige référence 846. Ce n'est toutefois pas cette voiture qui sera livrée à M. Paulet car, le 12 juin 1962, le cabriolet n° de châssis 3499GT, portant exactement les mêmes teintes que celui qui avait été commandé, est livré par Pininfarina à Ferrari et l'usine décide donc de l'affecter à la commande de la Franco-Britannic. La voiture arrive à Paris à la fin du mois et prend, le 10 juillet 1962, l'immatriculation 2985 BW 13 au nom de "R. Paulet et Cie, Société Méridionale d'Industrie", avenue de la Boudinière à Marseille. M. Paulet n'utilisera que très peu cette voiture tout au long des neuf années où elle restera entre ses mains, si bien que lorsqu'elle est cédée le 25 janvier 1971 à son deuxième et actuel propriétaire, le compteur n'affiche que 7 000 km ! L'histoire est belle…Le propriétaire actuel, qui avait une trentaine d'années alors, entretenait sa voiture, une Alfa Roméo 1750 coupé Bertone qu'il avait acheté neuve, au garage André, voisin de son entreprise de transport. M. Paulet, âgé à l'époque, était également client de ce même garagiste et y amenait sa Ferrari. C'est chez ce garagiste que les deux hommes se rencontrent alors que le deuxième et actuel propriétaire était littéralement tombé amoureux du cabriolet Pininfarina ! Voyant l'enthousiasme de ce jeune passionné, M. Paulet lui promet de le mettre en première position des acheteurs potentiels le jour où il se déciderait à la vendre. Finalement, le téléphone sonne cinq ans après; il s'agissait de la Mme Paulet qui respectait les dernières volontés de son défunt mari en lui proposant la fameuse Ferrari. Sans aucune hésitation, notre passionné revend son Alfa Roméo, rajoute FF500 000 de l'époque et repart, fier, avec la Ferrari que nous présentons aujourd'hui. Le propriétaire a plusieurs anecdotes amusantes à son sujet. Il se souvient du jour où, en sortant la Belle de son garage, il cassa la poignée côté conducteur. Connaissant bien les voitures, il lui semblait que cette pièce était identique à celle de la Renault Floride. Il va chez un ferrailleur, achète une poignée de Floride, l

Auktionsarchiv: Los-Nr. 310
Auktion:
Datum:
08.02.2013
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1962 FERRARI 250 GT CABRIOLET Carte grise française Châssis n° 3499GT Moteur n° 3499GT - État d'origine totalement exceptionnel - Seulement Deux propriétaires marseillais depuis sa sortie d'usine - Modèle emblématique avec son hard-top d'origine - Deuxième main depuis 1971, toute sa vie à Marseille Avec le moteur 250 apparaît une vaste famille de voitures qui vont faire passer Ferrari de marque confidentielle à celui de constructeur de voitures de sport produites en série. Cette gamme s'appuie sur un moteur conçu par Gioacchino Colombo, un V12 3 litres puissant, souple et adaptable aussi bien à un usage touristique qu'à la compétition. La première 250 est dévoilée en 1952 sous une forme plutôt sportive, bientôt suivie des 250 Ellena et 250 GT Europa. Confortables et bien équipés pour les voyages, ces modèles séduisent une clientèle plus large. Ce développement se confirme avec l'arrivée en 1957 du cabriolet 250 GT PF, les deux dernières lettres correspondant à Pinin Farina (encore écrit en deux mots), à qui est confié le dessin et la fabrication de la carrosserie. C'est ce même Pinin Farina qui assure aussi la réalisation du coupé 250 GT PF présenté en 1958 et qui va faire définitivement passer Ferrari du stade artisanal à celui de la fabrication en (petite) série. Au Salon de Paris 1959, Ferrari présente le cabriolet 250 GT deuxième série, qui adopte sa forme définitive. A l'attrait de sa mécanique d'exception, cette voiture ajoute le plaisir de la conduite décontractée, capote baissé. Ce cabriolet fait partie des modèles les plus "glamour" des années 1960, voire de l'histoire de l'automobile. Les archives Pininfarina indiquent que, à l'origine, le cabriolet 250 GT portant le n° de châssis 3575GT, terminé le 20 juin 1962, était destiné à M. Paulet, par l'intermédiaire de Franco-Britannic Automobiles. Il était commandé de couleur gris clair référence 18933M, avec intérieur cuir Connolly beige référence 846. Ce n'est toutefois pas cette voiture qui sera livrée à M. Paulet car, le 12 juin 1962, le cabriolet n° de châssis 3499GT, portant exactement les mêmes teintes que celui qui avait été commandé, est livré par Pininfarina à Ferrari et l'usine décide donc de l'affecter à la commande de la Franco-Britannic. La voiture arrive à Paris à la fin du mois et prend, le 10 juillet 1962, l'immatriculation 2985 BW 13 au nom de "R. Paulet et Cie, Société Méridionale d'Industrie", avenue de la Boudinière à Marseille. M. Paulet n'utilisera que très peu cette voiture tout au long des neuf années où elle restera entre ses mains, si bien que lorsqu'elle est cédée le 25 janvier 1971 à son deuxième et actuel propriétaire, le compteur n'affiche que 7 000 km ! L'histoire est belle…Le propriétaire actuel, qui avait une trentaine d'années alors, entretenait sa voiture, une Alfa Roméo 1750 coupé Bertone qu'il avait acheté neuve, au garage André, voisin de son entreprise de transport. M. Paulet, âgé à l'époque, était également client de ce même garagiste et y amenait sa Ferrari. C'est chez ce garagiste que les deux hommes se rencontrent alors que le deuxième et actuel propriétaire était littéralement tombé amoureux du cabriolet Pininfarina ! Voyant l'enthousiasme de ce jeune passionné, M. Paulet lui promet de le mettre en première position des acheteurs potentiels le jour où il se déciderait à la vendre. Finalement, le téléphone sonne cinq ans après; il s'agissait de la Mme Paulet qui respectait les dernières volontés de son défunt mari en lui proposant la fameuse Ferrari. Sans aucune hésitation, notre passionné revend son Alfa Roméo, rajoute FF500 000 de l'époque et repart, fier, avec la Ferrari que nous présentons aujourd'hui. Le propriétaire a plusieurs anecdotes amusantes à son sujet. Il se souvient du jour où, en sortant la Belle de son garage, il cassa la poignée côté conducteur. Connaissant bien les voitures, il lui semblait que cette pièce était identique à celle de la Renault Floride. Il va chez un ferrailleur, achète une poignée de Floride, l

Auktionsarchiv: Los-Nr. 310
Auktion:
Datum:
08.02.2013
Auktionshaus:
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Frankreich
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