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Auktionsarchiv: Los-Nr. 157

1958 Mercedes-Benz 300 SL roadster

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
827.080 €
ca. 887.953 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 157

1958 Mercedes-Benz 300 SL roadster

Schätzpreis
0 €
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827.080 €
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Beschreibung:

1958 Mercedes-Benz 300 SL roadster Carte grise française Châssis n°1980427500641 Moteur n° 198.980.7500665 - Restauration de haut niveau, très bien préservée - Voiture fiabilisée et mise au point - Désirable version roadster - Moteur d'origine Châssis tubulaire, moteur six-cylindres à injection directe, carter sec, freins ailetés Alfin, roues indépendantes, carrosserie profilée, la Mercedes 300 SL est née de la course automobile. Les meilleurs ingénieurs de Mercedes se sont penchés sur son berceau et, merveilleuse trouvaille, les ailes "papillon" qui vont lui donner son nom ne sont pas un subterfuge esthétique: elles sont dues à la structure du châssis, qui monte sur les côtés pour assurer la meilleure rigidité possible. Ce qui était une contrainte se transforme en une des caractéristiques qui vont faire de cette voiture une légende. Après sa présentation en 1954 au Salon de New York, la liste des acheteurs de la nouvelle Mercedes est un véritable "Who's who" des célébrités de l'époque : Pablo Picasso le Shah d'Iran, le prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis le roi Hussein de Jordanie... sans parler de passionnés d'automobile comme Luigi Chinetti ou Briggs Cunnigham. En 1956, il faut débourser 5,4 millions de francs pour une 300 SL, contre 1,6 million pour une Porsche 356 1600 Super. Quant aux performances, elles font de la 300 SL une dominatrice absolue, ce qui fera dire au magazine Auto Sport : "La ligne de la 300 SL est fabuleuse et ses performances presque incroyables", exemple parmi tant d'autres des propos dithyrambiques ayant accompagné l'arrivée de la 300 SL sur les routes d'Europe et des États-Unis. Pourtant, la Mercedes 300 SL "Papillon" n'a pas que des qualités : il règne dans l'habitacle une chaleur parfois insupportable et l'accès à bord n'est pas de la plus grande facilité pour une dame élégante portant une robe longue. Sous la pression de l'importateur aux États-Unis, Max Hoffman, Mercedes lance donc au Salon de Genève 1957 une version roadster plus agréable à utiliser, constituant un compromis idéal entre pedigree sportif, confort et agrément. La voiture que nous proposons a bénéficié il y a 25 ans d'une restauration de haut niveau et se présente encore dans un état exceptionnel. Elle serait selon nos sources, d'origine italienne et originellement de couleur DB40G (noir). Couleur qu'elle portait encore lorsqu'en provenance de Californie, elle fut achetée en 1989 lors d'une vente aux enchères par l'actuel propriétaire. Celui-ci s'est alors lancé dans une restauration complète, en faisant appel aux meilleurs artisans, et en chargeant son propre mécanicien du suivi des travaux. Le moteur (d'origine) a été confié à Bernard Pigelet, de Racing Diffusion à Levallois, de même que la boîte de vitesses et le pont arrière. Le châssis tubulaire a été mis à nu, zingué puis traité à la peinture époxy. La carrosserie a connu le même genre de traitement, dans les ateliers Kerambellec, de Buc, avec ponçage complet puis peinture dans une superbe teinte grise. Le faisceau électrique a été entièrement contrôlé et les accessoires électriques remis en état. A l'intérieur, la sellerie a été complètement restaurée avec un très beau cuir vert foncé et les moquettes ont été refaites en laine avec bordure en cuir. Le remontage de l'ensemble est particulièrement soigné et les ajustements sont impeccables. La capote vert foncé n'est pas marquée. Bien qu'un autoradio moderne ait été adapté, la voiture est vendue avec son autoradio d'époque ainsi qu'une trousse à outils, dans le même cuir que l'intérieur, dotée d'outils Mercedes d'époque. Depuis cette restauration très méticuleuse, la voiture a parcouru un peu plus de 6 000 Miles, sans que la restauration n'en souffre. Seul le servofrein a été changé l'année derniére, la voiture bénéficiant d'un entretien soigné pour être toujours prête à rouler. Il faut noter qu'un oubli facilement rectifiable a été commis sur la carte grise au niveau du numéro de série, où le 7 (198042 7 500665) a été

Auktionsarchiv: Los-Nr. 157
Auktion:
Datum:
01.11.2015 - 09.11.2015
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1958 Mercedes-Benz 300 SL roadster Carte grise française Châssis n°1980427500641 Moteur n° 198.980.7500665 - Restauration de haut niveau, très bien préservée - Voiture fiabilisée et mise au point - Désirable version roadster - Moteur d'origine Châssis tubulaire, moteur six-cylindres à injection directe, carter sec, freins ailetés Alfin, roues indépendantes, carrosserie profilée, la Mercedes 300 SL est née de la course automobile. Les meilleurs ingénieurs de Mercedes se sont penchés sur son berceau et, merveilleuse trouvaille, les ailes "papillon" qui vont lui donner son nom ne sont pas un subterfuge esthétique: elles sont dues à la structure du châssis, qui monte sur les côtés pour assurer la meilleure rigidité possible. Ce qui était une contrainte se transforme en une des caractéristiques qui vont faire de cette voiture une légende. Après sa présentation en 1954 au Salon de New York, la liste des acheteurs de la nouvelle Mercedes est un véritable "Who's who" des célébrités de l'époque : Pablo Picasso le Shah d'Iran, le prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis le roi Hussein de Jordanie... sans parler de passionnés d'automobile comme Luigi Chinetti ou Briggs Cunnigham. En 1956, il faut débourser 5,4 millions de francs pour une 300 SL, contre 1,6 million pour une Porsche 356 1600 Super. Quant aux performances, elles font de la 300 SL une dominatrice absolue, ce qui fera dire au magazine Auto Sport : "La ligne de la 300 SL est fabuleuse et ses performances presque incroyables", exemple parmi tant d'autres des propos dithyrambiques ayant accompagné l'arrivée de la 300 SL sur les routes d'Europe et des États-Unis. Pourtant, la Mercedes 300 SL "Papillon" n'a pas que des qualités : il règne dans l'habitacle une chaleur parfois insupportable et l'accès à bord n'est pas de la plus grande facilité pour une dame élégante portant une robe longue. Sous la pression de l'importateur aux États-Unis, Max Hoffman, Mercedes lance donc au Salon de Genève 1957 une version roadster plus agréable à utiliser, constituant un compromis idéal entre pedigree sportif, confort et agrément. La voiture que nous proposons a bénéficié il y a 25 ans d'une restauration de haut niveau et se présente encore dans un état exceptionnel. Elle serait selon nos sources, d'origine italienne et originellement de couleur DB40G (noir). Couleur qu'elle portait encore lorsqu'en provenance de Californie, elle fut achetée en 1989 lors d'une vente aux enchères par l'actuel propriétaire. Celui-ci s'est alors lancé dans une restauration complète, en faisant appel aux meilleurs artisans, et en chargeant son propre mécanicien du suivi des travaux. Le moteur (d'origine) a été confié à Bernard Pigelet, de Racing Diffusion à Levallois, de même que la boîte de vitesses et le pont arrière. Le châssis tubulaire a été mis à nu, zingué puis traité à la peinture époxy. La carrosserie a connu le même genre de traitement, dans les ateliers Kerambellec, de Buc, avec ponçage complet puis peinture dans une superbe teinte grise. Le faisceau électrique a été entièrement contrôlé et les accessoires électriques remis en état. A l'intérieur, la sellerie a été complètement restaurée avec un très beau cuir vert foncé et les moquettes ont été refaites en laine avec bordure en cuir. Le remontage de l'ensemble est particulièrement soigné et les ajustements sont impeccables. La capote vert foncé n'est pas marquée. Bien qu'un autoradio moderne ait été adapté, la voiture est vendue avec son autoradio d'époque ainsi qu'une trousse à outils, dans le même cuir que l'intérieur, dotée d'outils Mercedes d'époque. Depuis cette restauration très méticuleuse, la voiture a parcouru un peu plus de 6 000 Miles, sans que la restauration n'en souffre. Seul le servofrein a été changé l'année derniére, la voiture bénéficiant d'un entretien soigné pour être toujours prête à rouler. Il faut noter qu'un oubli facilement rectifiable a été commis sur la carte grise au niveau du numéro de série, où le 7 (198042 7 500665) a été

Auktionsarchiv: Los-Nr. 157
Auktion:
Datum:
01.11.2015 - 09.11.2015
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
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