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Auktionsarchiv: Los-Nr. 95

1958 Ferrari 250 GT Cabriolet Série 1 par Pinin Farina

Schätzpreis
7.000.000 € - 9.000.000 €
ca. 8.580.492 $ - 11.032.061 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 95

1958 Ferrari 250 GT Cabriolet Série 1 par Pinin Farina

Schätzpreis
7.000.000 € - 9.000.000 €
ca. 8.580.492 $ - 11.032.061 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

1958 Ferrari 250 GT Cabriolet Série 1 par Pinin Farina Titre de circulation US Dédouanée en UE Châssis n° 0849GT Moteur n° 0849GT (N° interne 0214C) Caisse n°PF19469 Boîte n°85C - 23e cabriolet Série 1 sur seulement 40 produits - Un des 11 encore "matching numbers" aujourd'hui - Plus rare, plus belle, plus élégante qu'une California LWB Dans l'histoire Ferrari, l'époque des 166 et 212 nous avait permis de voir apparaître une jolie vogue des cabriolets. Depuis 1954 et l'avènement de la 250 GT, l'usine ne proposait pas d'alternative décapotable à sa clientèle huppée. Le premier cabriolet 250 GT, et signé Boano, apparaît en 1956, en même temps que le coupé dont il est dérivé. Le coupé et le cabriolet, dont les lignes sont bien différentes, sont présentés l'un à côté de l'autre en 1956 au Salon de Genève. Quelques semaines plus tard, ce même cabriolet bleu électrique est présenté sur le stand de l'importateur américain Luigi Chinetti au Salon de New York. Il sera alors vendu à un grand collectionneur qui le garda près de 40 ans. En mars 1957, Pinin Farina 'riposte' en exposant au Salon de Genève un véritable spider deux places, beaucoup plus sportif que la création de Boano. On ne peut que se rappeler des formes de la 410 Superfast lorsqu'on observe le sublime dessin de ce cabriolet. Le profil est quasiment le même avec ses phares carénés, une large bouche flanquée des butoirs verticaux de pare-chocs. L'arrière quant à lui est inédit et se termine par une arête parfaitement oblique. Cette voiture de rêve ne manquera pas d'attirer l'attention des visiteurs du Salon et deviendra la propriété du pilote usine Peter Collins qui la fera repeindre en british racing green et l'équipera avec des freins à disque et des jantes Dunlop. L'initiative ne laissera d'ailleurs pas insensible l'usine puisqu'ils seront essayés sur une Testa Rossa. Peu de temps après, dès 1959 pour les sportives et dès 1960 pour les modèles Grand Tourisme, les freins à tambours seront définitivement abandonnés au profit des disques. Après la présentation par Pinin Farina de deux autres prototypes, dont un surnommé 'Competizione', Ferrari annonce la production d'une série de cabriolets. Le premier exemplaire de série ne reprend pas les ouïes d'extraction des 410 SA et deux projecteurs Marchal seront placés devant la grille de calandre. Les 22 exemplaires suivants seront identiques. Durant l'été 1958, alors qu'apparaît un nouveau coupé 250 GT Pinin Farina et une découvrable plus sportive - la California - l'avant du cabriolet est modifié avec des pare-chocs avant enveloppant, au contraire des deux butoirs et les anti-brouillards sont installés derrière la grille de calandre. Une douzaine de cabriolets ainsi carrossés, mais bien moins gracieux, seront produits jusqu'à la sortie du dernier à l'été 59. La base mécanique de ces cabriolets est quasi-identique à celle du coupé produit de 1956 à 1958. Il s'agit du V12 3L type 128C développant 240 ch. En tout, 40 exemplaires de ces cabriolets, appelés aujourd'hui série I, pour différencier les productions plus tardives du cabriolet dérivé du 250 GT Coupé Pinin Farina présenté en octobre 1959 à Paris, appelés eux série II. Le superbe exemplaire que nous présentons ici sort de l'usine de Maranello le 14 janvier 1958 et est envoyée chez Pinin Farina pour la carrosserie. Elle en sortira le 5 mai 1958 de couleur blanche (référence Max Meyer 10019), habillée de cuir Connolly turquoise (réf. VM3478). Elle sera livrée quatre jours après à son premier propriétaire milanais, Enzo Paolo Tacchini et immatriculée MI384430. En 1960, elle sera revendue à un autre résident milanais, Mario Fano en conservant donc son immatriculation. Le 17 juillet 1964, la voiture passera en France entre les mains de Claude Gailleux, parisien habitant dans le 10e arrondissement avant de la céder à Philippe Luyt, vivant à Fontainebleau. Comme Peter Collins en 1957, pour un confort de conduite, il fera monter des freins à disque (qu'elle possède encore aujourd'hu

Auktionsarchiv: Los-Nr. 95
Auktion:
Datum:
09.02.2018
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1958 Ferrari 250 GT Cabriolet Série 1 par Pinin Farina Titre de circulation US Dédouanée en UE Châssis n° 0849GT Moteur n° 0849GT (N° interne 0214C) Caisse n°PF19469 Boîte n°85C - 23e cabriolet Série 1 sur seulement 40 produits - Un des 11 encore "matching numbers" aujourd'hui - Plus rare, plus belle, plus élégante qu'une California LWB Dans l'histoire Ferrari, l'époque des 166 et 212 nous avait permis de voir apparaître une jolie vogue des cabriolets. Depuis 1954 et l'avènement de la 250 GT, l'usine ne proposait pas d'alternative décapotable à sa clientèle huppée. Le premier cabriolet 250 GT, et signé Boano, apparaît en 1956, en même temps que le coupé dont il est dérivé. Le coupé et le cabriolet, dont les lignes sont bien différentes, sont présentés l'un à côté de l'autre en 1956 au Salon de Genève. Quelques semaines plus tard, ce même cabriolet bleu électrique est présenté sur le stand de l'importateur américain Luigi Chinetti au Salon de New York. Il sera alors vendu à un grand collectionneur qui le garda près de 40 ans. En mars 1957, Pinin Farina 'riposte' en exposant au Salon de Genève un véritable spider deux places, beaucoup plus sportif que la création de Boano. On ne peut que se rappeler des formes de la 410 Superfast lorsqu'on observe le sublime dessin de ce cabriolet. Le profil est quasiment le même avec ses phares carénés, une large bouche flanquée des butoirs verticaux de pare-chocs. L'arrière quant à lui est inédit et se termine par une arête parfaitement oblique. Cette voiture de rêve ne manquera pas d'attirer l'attention des visiteurs du Salon et deviendra la propriété du pilote usine Peter Collins qui la fera repeindre en british racing green et l'équipera avec des freins à disque et des jantes Dunlop. L'initiative ne laissera d'ailleurs pas insensible l'usine puisqu'ils seront essayés sur une Testa Rossa. Peu de temps après, dès 1959 pour les sportives et dès 1960 pour les modèles Grand Tourisme, les freins à tambours seront définitivement abandonnés au profit des disques. Après la présentation par Pinin Farina de deux autres prototypes, dont un surnommé 'Competizione', Ferrari annonce la production d'une série de cabriolets. Le premier exemplaire de série ne reprend pas les ouïes d'extraction des 410 SA et deux projecteurs Marchal seront placés devant la grille de calandre. Les 22 exemplaires suivants seront identiques. Durant l'été 1958, alors qu'apparaît un nouveau coupé 250 GT Pinin Farina et une découvrable plus sportive - la California - l'avant du cabriolet est modifié avec des pare-chocs avant enveloppant, au contraire des deux butoirs et les anti-brouillards sont installés derrière la grille de calandre. Une douzaine de cabriolets ainsi carrossés, mais bien moins gracieux, seront produits jusqu'à la sortie du dernier à l'été 59. La base mécanique de ces cabriolets est quasi-identique à celle du coupé produit de 1956 à 1958. Il s'agit du V12 3L type 128C développant 240 ch. En tout, 40 exemplaires de ces cabriolets, appelés aujourd'hui série I, pour différencier les productions plus tardives du cabriolet dérivé du 250 GT Coupé Pinin Farina présenté en octobre 1959 à Paris, appelés eux série II. Le superbe exemplaire que nous présentons ici sort de l'usine de Maranello le 14 janvier 1958 et est envoyée chez Pinin Farina pour la carrosserie. Elle en sortira le 5 mai 1958 de couleur blanche (référence Max Meyer 10019), habillée de cuir Connolly turquoise (réf. VM3478). Elle sera livrée quatre jours après à son premier propriétaire milanais, Enzo Paolo Tacchini et immatriculée MI384430. En 1960, elle sera revendue à un autre résident milanais, Mario Fano en conservant donc son immatriculation. Le 17 juillet 1964, la voiture passera en France entre les mains de Claude Gailleux, parisien habitant dans le 10e arrondissement avant de la céder à Philippe Luyt, vivant à Fontainebleau. Comme Peter Collins en 1957, pour un confort de conduite, il fera monter des freins à disque (qu'elle possède encore aujourd'hu

Auktionsarchiv: Los-Nr. 95
Auktion:
Datum:
09.02.2018
Auktionshaus:
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75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
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