Premium-Seiten ohne Registrierung:

Auktionsarchiv: Los-Nr. 136

1954 Jaguar D-Type 3.8L Chassis no. 667143 Engine no. F1029-8

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
31.625 €
ca. 46.051 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 136

1954 Jaguar D-Type 3.8L Chassis no. 667143 Engine no. F1029-8

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
31.625 €
ca. 46.051 $
Beschreibung:

"Ce chef-d'œuvre technique, capable de 300 km/h, complètement conçu, contruit et préparé chez Jaguar, allait remporter une étonnante moisson de victoires spectaculaires au Mans dans les années 1950". Paul Skilleter, Jaguar : The sporting Heritage. La Jaguar Type C remporte deux victoires enviées aux 24 heures du Mans, en 1951 et 1953. Elle est encore compétitive lorsque l'ingénieur en chef Bill Heynes et son équipe se lancent dans la conception de celle qui va lui succéder. Cherchant les meilleures solutions, Heynes abandonne le châssis tubulaire de la Type C et adopte une structure monocoque en aluminium, sur laquelle est soudée à l'avant une sous-structure en aluminium portant moteur et suspension. C'est une conception extrêmement avancée, bien que certaines versions ultérieures aient changé pour un châssis rapporté en acier. Comme toujours, la victoire au Mans est la priorité de Jaguar. Une attention toute particulière est donc apportée au profilage de la voiture. L'aérodynamicien Malcolm Sayer produit une forme efficace, dotée d'un excellent coefficient de pénétration qui va permettre à la Type D de surpasser l'opposition, malgré un déficit de puissance de plus de 100 ch dans certains cas. Ce faisant, Sayer crée aussi une des plus belles voitures de course jamais réalisées. En plus de construire des voitures pour l'équipe de compétition usine, Jaguar lance une petite production pour les pilotes privés et, entre 1954 et 1957, quelque 87 exemplaires de toutes les versions sortent de l'usine Jaguar de Coventry. Les multiples victoires de Jaguar au Mans dans les années 1950 — deux fois avec la Type C et trois fois avec la Type D — ainsi que d'innombrables succès dans d'autres grandes épreuves d'endurance, ont assuré une demande continue pour des répliques de ces barquettes de courses rares et exotiques. Acheté par l'actuel propriétaire en avril 1987 de Straight Six (Tony Hildebrand), l'exemplaire que nous offrons ici est animé par un moteur Jaguar XK 3,4 litres et comporte une carrosserie en fibre de verre. Le compteur kilométrique affiche 79 176 miles (126 680 km) et la voiture est munie de son document d'immatriculation britannique UK Swansea V5. Il indique une date de première immatriculation le 12 mai 1954, qui correspond probablement à la Jaguar utilisée pour la fabrication de la voiture (le numéro de châssis correspond à celui d'un cabriolet XK 120). Si copier un chef-d'œuvre peut être considéré comme le plus bel hommage, alors cette Type D replica est une alternative apportant vitesse et plaisir pour une toute petite portion du prix. ‘This 190mph technical masterpiece, designed, built and prepared totally within Jaguar, was to achieve a hat-trick of spectacular Le Mans victories in the 1950s.’ - Paul Skilleter, Jaguar: The Sporting Heritage. The Jaguar C-Type had won the coveted Le Mans 24 Hour race twice (in 1951 and 1953) and was still competitive when Chief Engineer Bill Heynes and his team set about designing its successor. Moving the game on, Heynes abandoned the C-Type’s tubular spaceframe chassis, adopting instead an aluminium monocoque body tub to which the aluminium front subframe carrying the engine and suspension was welded. It was an immensely far-sighted design, though later versions switched to a bolted-on steel framework. As ever, victory at Le Mans was Jaguar’s first priority and so a great deal of attention was paid to getting the aerodynamics right. Aerodynamicist Malcolm Sayer duly came up with an efficient, wind-cheating shape that enabled the D-Type to outrun the opposition despite having a deficit of over 100 horsepower on occasions. In so doing he also created one of the most beautiful racing sports cars ever made. As well as building cars for the works team, Jaguar also undertook a limited production run for sale to privateers and between 1954 and 1957 some 87 in total of all variants were produced at Jaguar’s Coventry factory. Jaguar’s multiple Le Mans wins in the 1950s - twice with the C-Type a

Auktionsarchiv: Los-Nr. 136
Auktion:
Datum:
26.09.2009
Auktionshaus:
Bonhams London
Reims
Beschreibung:

"Ce chef-d'œuvre technique, capable de 300 km/h, complètement conçu, contruit et préparé chez Jaguar, allait remporter une étonnante moisson de victoires spectaculaires au Mans dans les années 1950". Paul Skilleter, Jaguar : The sporting Heritage. La Jaguar Type C remporte deux victoires enviées aux 24 heures du Mans, en 1951 et 1953. Elle est encore compétitive lorsque l'ingénieur en chef Bill Heynes et son équipe se lancent dans la conception de celle qui va lui succéder. Cherchant les meilleures solutions, Heynes abandonne le châssis tubulaire de la Type C et adopte une structure monocoque en aluminium, sur laquelle est soudée à l'avant une sous-structure en aluminium portant moteur et suspension. C'est une conception extrêmement avancée, bien que certaines versions ultérieures aient changé pour un châssis rapporté en acier. Comme toujours, la victoire au Mans est la priorité de Jaguar. Une attention toute particulière est donc apportée au profilage de la voiture. L'aérodynamicien Malcolm Sayer produit une forme efficace, dotée d'un excellent coefficient de pénétration qui va permettre à la Type D de surpasser l'opposition, malgré un déficit de puissance de plus de 100 ch dans certains cas. Ce faisant, Sayer crée aussi une des plus belles voitures de course jamais réalisées. En plus de construire des voitures pour l'équipe de compétition usine, Jaguar lance une petite production pour les pilotes privés et, entre 1954 et 1957, quelque 87 exemplaires de toutes les versions sortent de l'usine Jaguar de Coventry. Les multiples victoires de Jaguar au Mans dans les années 1950 — deux fois avec la Type C et trois fois avec la Type D — ainsi que d'innombrables succès dans d'autres grandes épreuves d'endurance, ont assuré une demande continue pour des répliques de ces barquettes de courses rares et exotiques. Acheté par l'actuel propriétaire en avril 1987 de Straight Six (Tony Hildebrand), l'exemplaire que nous offrons ici est animé par un moteur Jaguar XK 3,4 litres et comporte une carrosserie en fibre de verre. Le compteur kilométrique affiche 79 176 miles (126 680 km) et la voiture est munie de son document d'immatriculation britannique UK Swansea V5. Il indique une date de première immatriculation le 12 mai 1954, qui correspond probablement à la Jaguar utilisée pour la fabrication de la voiture (le numéro de châssis correspond à celui d'un cabriolet XK 120). Si copier un chef-d'œuvre peut être considéré comme le plus bel hommage, alors cette Type D replica est une alternative apportant vitesse et plaisir pour une toute petite portion du prix. ‘This 190mph technical masterpiece, designed, built and prepared totally within Jaguar, was to achieve a hat-trick of spectacular Le Mans victories in the 1950s.’ - Paul Skilleter, Jaguar: The Sporting Heritage. The Jaguar C-Type had won the coveted Le Mans 24 Hour race twice (in 1951 and 1953) and was still competitive when Chief Engineer Bill Heynes and his team set about designing its successor. Moving the game on, Heynes abandoned the C-Type’s tubular spaceframe chassis, adopting instead an aluminium monocoque body tub to which the aluminium front subframe carrying the engine and suspension was welded. It was an immensely far-sighted design, though later versions switched to a bolted-on steel framework. As ever, victory at Le Mans was Jaguar’s first priority and so a great deal of attention was paid to getting the aerodynamics right. Aerodynamicist Malcolm Sayer duly came up with an efficient, wind-cheating shape that enabled the D-Type to outrun the opposition despite having a deficit of over 100 horsepower on occasions. In so doing he also created one of the most beautiful racing sports cars ever made. As well as building cars for the works team, Jaguar also undertook a limited production run for sale to privateers and between 1954 and 1957 some 87 in total of all variants were produced at Jaguar’s Coventry factory. Jaguar’s multiple Le Mans wins in the 1950s - twice with the C-Type a

Auktionsarchiv: Los-Nr. 136
Auktion:
Datum:
26.09.2009
Auktionshaus:
Bonhams London
Reims
LotSearch ausprobieren

Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!

  • Auktionssuche und Bieten
  • Preisdatenbank und Analysen
  • Individuelle automatische Suchaufträge
Jetzt einen Suchauftrag anlegen!

Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.

Suchauftrag anlegen