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Auktionsarchiv: Los-Nr. 103

1917 PACKARD Twin-Six V12

Schätzpreis
150.000 € - 200.000 €
ca. 165.217 $ - 220.289 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 103

1917 PACKARD Twin-Six V12

Schätzpreis
150.000 € - 200.000 €
ca. 165.217 $ - 220.289 $
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

Carrosserie : Runabout Numéro de série : 125235 - Série 2-25, 2éme série A immatriculer en collection Certificat de dédouanement 846 A fourni En mai 1915, le président Henry Joy testait le nouveau modèle sur la route allant de Detroit à San Francisco. On pouvait penser qu’il ne faisait confiance à personne d’autre pour évaluer la dernière Packard. Mais plus probablement qu’il voulait juste constater ce que Jesse Vincent lui avait dit était vrai. Et ça l’était ! Joy, après ce voyage disait en parlant de la Twin-Six : « La plus grande machine qui ait jamais roulé sur les autoroutes ! ». La remplaçante de la Six, avec le double de cylindres allait durer longtemps. Et tout ça grâce à cet enfant né en Arkansas en 1880, intéressé par la mécanique dès l’âge de 10 ans : Jesse Vincent. A cette époque, les cylindres augmentaient par paire, l’on passait de 2 à 4, puis de 4 à 6 voir 8 cylindres. Il voulait au départ faire le Twin Four mais pour des raisons de vibrations, il souhaitait passer à 12 cylindres. Il fit part de son projet au directeur motoring. L’histoire raconte que ce dernier interrompit une réunion en indiquant « j’ai quelque chose à lire » en parlant du projet qu’il venait de recevoir. Celui-ci s’intitulait « How Many Cylinders ? ». Lorsqu’ils ont fait les 1ers essais, Jesse Vincent écrivait : « il y a 3 choses que chaque automobiliste a demandé – plus de capacité, une plus grande douceur et moins de bruit ». On peut constater qu’aujourd’hui la demande est la même. Une autre nouveauté mérite également d’être citée pour l’époque : le rapprochement du moteur et de la boite de vitesses. C’est également l’époque du fameux bouchon de radiateur Packard. Henry Joy eut cette idée en voyant la fermeture d’un pot de fruit de son fils. The Automobile indiquait à l’époque : « Packard attirera sans aucun doute plus d’attention que n’importe quel constructeur » et « la Twin-six est la plus grande avancée dans toute l’industrie ». Cette automobile était à l’époque la plus innovante et la plus agréable à conduire. Le modèle présenté est un runabout de la 2ème série. La restauration est exemplaire. La restauration intégrale de la mécanique a été faite par un spécialiste Packard. Ce qui est impressionnant au premier regard c’est sa taille : énorme ! Des roues de 94 cm, une longueur et une hauteur hors normes. Il suffit de comparer la taille d’une personne à coté de la voiture. Les différentes carrosseries étaient nombreuses: Touring ; Salon Touring ; Phaeton ; Salon Phaeton ; Coupe ; Limousine ; Landaulet Brougham; Runabout ou uniquement châssis. En 1917, Packard avait beaucoup d’humour et indiquait « Nous fabriquons des belles automobiles pour un bon prix auquel il faut ajouter la prime du vendeur... demandez à l’homme qui en doit une ». Notre modèle 2ème série n’a pas beaucoup de différences avec la 1ère si ce ne sont qu’un radiateur plus grand, qu’un châssis plus bas sur sa partie arrière d’un pouce et demi, et les entourages de phares sont peints en noir. Sur cette même série, vous pouviez avoir un runabout en 4 places. Aujourd’hui il ne reste que très peu de Twin-Six, surtout dans cette version runabout (2 place). Nous vous offrons une rare opportunité en Europe voir même aux Etats-Unis de trouver un tel modèle dans cet état.

Auktionsarchiv: Los-Nr. 103
Auktion:
Datum:
27.05.2020
Auktionshaus:
Osenat Maison de vente aux enchères
9-11 rue Royale
77300 Fontainebleau
Frankreich
contact@osenat.com
+33 (0)1 64222762
Beschreibung:

Carrosserie : Runabout Numéro de série : 125235 - Série 2-25, 2éme série A immatriculer en collection Certificat de dédouanement 846 A fourni En mai 1915, le président Henry Joy testait le nouveau modèle sur la route allant de Detroit à San Francisco. On pouvait penser qu’il ne faisait confiance à personne d’autre pour évaluer la dernière Packard. Mais plus probablement qu’il voulait juste constater ce que Jesse Vincent lui avait dit était vrai. Et ça l’était ! Joy, après ce voyage disait en parlant de la Twin-Six : « La plus grande machine qui ait jamais roulé sur les autoroutes ! ». La remplaçante de la Six, avec le double de cylindres allait durer longtemps. Et tout ça grâce à cet enfant né en Arkansas en 1880, intéressé par la mécanique dès l’âge de 10 ans : Jesse Vincent. A cette époque, les cylindres augmentaient par paire, l’on passait de 2 à 4, puis de 4 à 6 voir 8 cylindres. Il voulait au départ faire le Twin Four mais pour des raisons de vibrations, il souhaitait passer à 12 cylindres. Il fit part de son projet au directeur motoring. L’histoire raconte que ce dernier interrompit une réunion en indiquant « j’ai quelque chose à lire » en parlant du projet qu’il venait de recevoir. Celui-ci s’intitulait « How Many Cylinders ? ». Lorsqu’ils ont fait les 1ers essais, Jesse Vincent écrivait : « il y a 3 choses que chaque automobiliste a demandé – plus de capacité, une plus grande douceur et moins de bruit ». On peut constater qu’aujourd’hui la demande est la même. Une autre nouveauté mérite également d’être citée pour l’époque : le rapprochement du moteur et de la boite de vitesses. C’est également l’époque du fameux bouchon de radiateur Packard. Henry Joy eut cette idée en voyant la fermeture d’un pot de fruit de son fils. The Automobile indiquait à l’époque : « Packard attirera sans aucun doute plus d’attention que n’importe quel constructeur » et « la Twin-six est la plus grande avancée dans toute l’industrie ». Cette automobile était à l’époque la plus innovante et la plus agréable à conduire. Le modèle présenté est un runabout de la 2ème série. La restauration est exemplaire. La restauration intégrale de la mécanique a été faite par un spécialiste Packard. Ce qui est impressionnant au premier regard c’est sa taille : énorme ! Des roues de 94 cm, une longueur et une hauteur hors normes. Il suffit de comparer la taille d’une personne à coté de la voiture. Les différentes carrosseries étaient nombreuses: Touring ; Salon Touring ; Phaeton ; Salon Phaeton ; Coupe ; Limousine ; Landaulet Brougham; Runabout ou uniquement châssis. En 1917, Packard avait beaucoup d’humour et indiquait « Nous fabriquons des belles automobiles pour un bon prix auquel il faut ajouter la prime du vendeur... demandez à l’homme qui en doit une ». Notre modèle 2ème série n’a pas beaucoup de différences avec la 1ère si ce ne sont qu’un radiateur plus grand, qu’un châssis plus bas sur sa partie arrière d’un pouce et demi, et les entourages de phares sont peints en noir. Sur cette même série, vous pouviez avoir un runabout en 4 places. Aujourd’hui il ne reste que très peu de Twin-Six, surtout dans cette version runabout (2 place). Nous vous offrons une rare opportunité en Europe voir même aux Etats-Unis de trouver un tel modèle dans cet état.

Auktionsarchiv: Los-Nr. 103
Auktion:
Datum:
27.05.2020
Auktionshaus:
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9-11 rue Royale
77300 Fontainebleau
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